Odette Lorougnon Gnabri, vice-présidente du Front populaire ivoirien (Fpi) et des militants «déférés» à la Maison d’arrêt et de correction d’Abidjan (Maca) puis «ramenés» à la Préfecture de police. C’est la nouvelle qu’ont partagé hier des frontistes, unanimes. Marie-France Akrakou, secrétaire nationale chargée de la région du Gbôklè, Sosthène Balou, secrétaire national à l’organisation de la jeunesse sont entre autres personnes arrêtées.
Toutes sont membres de la tendance opposée à celle que conduit Pascal Affi N’Guessan.
Certains de leurs camarades, interrogés peu après 20 h, ont dit ne « plus » savoir leur destination finale. Ils avaient été arrêtés vendredi, pour « trouble à l’ordre public ». Ils étaient partis revendiquer la direction de la Refondation, la société éditrice du quotidien Notre Voie, à la Riviera-Palmeraie (Cocody). Ils avaient ensuite été placés en garde à vue à la Préfecture de police d’Abidjan-Plateau où ils se trouvaient jusqu’à lundi. Pour ce qui est de Mme Lorougnon, elle a été conduite mardi matin au secrétariat du procureur au Tribunal de première instance dans cité des affaires. Ses partisans partis aux nouvelles ont été « dispersés » et d’autres « gazés ». Quatre femmes ont été « arrêtées », ont rapporté d’autres sources concordantes. Tous ces faits sont consécutifs à la profonde crise qui secoue l’ex-parti au pouvoir depuis le 4 juillet 2014 au sujet de sa participation ou non à l’élection présidentielle de 2015.
BI
Toutes sont membres de la tendance opposée à celle que conduit Pascal Affi N’Guessan.
Certains de leurs camarades, interrogés peu après 20 h, ont dit ne « plus » savoir leur destination finale. Ils avaient été arrêtés vendredi, pour « trouble à l’ordre public ». Ils étaient partis revendiquer la direction de la Refondation, la société éditrice du quotidien Notre Voie, à la Riviera-Palmeraie (Cocody). Ils avaient ensuite été placés en garde à vue à la Préfecture de police d’Abidjan-Plateau où ils se trouvaient jusqu’à lundi. Pour ce qui est de Mme Lorougnon, elle a été conduite mardi matin au secrétariat du procureur au Tribunal de première instance dans cité des affaires. Ses partisans partis aux nouvelles ont été « dispersés » et d’autres « gazés ». Quatre femmes ont été « arrêtées », ont rapporté d’autres sources concordantes. Tous ces faits sont consécutifs à la profonde crise qui secoue l’ex-parti au pouvoir depuis le 4 juillet 2014 au sujet de sa participation ou non à l’élection présidentielle de 2015.
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