« Je lance un appel solennel à tous nos camarades qui animent cette fronde incompréhensible et inopportune de rejoindre la légalité. La fronde et la déviance ne servent ni la cause de Laurent Gbagbo ni les intérêts du Fpi et de la Côte d’Ivoire », a lancé Pascal Affi N'Guessan
Le Front populaire ivoirien (Fpi) a célébré à sa manière le "11 avril", date de l’arrestation de son leader Laurent Gbagbo, à son siège provisoire sis à Cocody-Attoban. Son président Pascal Affi N'Guessan a saisi cette occasion pour lancer un appel à ses camarades du parti avec qui il est en rupture de ban.
« Je lance un appel solennel à tous nos camarades qui animent cette fronde incompréhensible et inopportune de rejoindre la légalité. La fronde et la déviance ne servent ni la cause de Laurent Gbagbo ni les intérêts du Fpi et de la Côte d’Ivoire », a lancé Pascal Affi N'Guessan à ces derniers. Il leur a par ailleurs indiqué qu’ils ont encore leur place dans toutes les instances du parti. « Vos camarades vous attendent les bras ouverts. Rassemblons-nous pour la libération de Laurent Gbagbo », a-t-il dit.
Selon lui, en commémorant le 11 avril, le Fpi veut dire aux Ivoiriens que l'espoir n’est pas perdu. « La Côte d’Ivoire doit sortir de cette situation. Et la seule voie pour le parti est celle de la démocratie et de la réconciliation nationale », a-t-il indiqué.
Le président du Fpi a également ajouté qu’il faut qu’en cette année 2015, les militants disent non à Alassane Ouattara par les urnes. « Il faut que la Côte d’Ivoire se mobilise pour ces élections et le Fpi sera présent à ce rendez-vous », a-t-il insisté. Il a par ailleurs révélé que les ambitions du Front populaire ivoirien dans cette bataille électorale qui s’annonce sont connues. « Il s’agit de mettre fin aux souffrances des Ivoiriens, de les réconcilier à travers la libération du président Gbagbo et fonder une nouvelle espérance. » C’est justement pour y arriver qu’il appelle au rassemblement.
Au cours de cette cérémonie, le président du Fpi, Pascal Affi N'Guessan, a présenté une équipe dirigée par Marcel Gossio qui conduira désormais « la lutte pour la libération de Laurent Gbagbo » et les dossiers chauds du parti.
Ouattara Ouakaltio
Correspondant communal
Le Front populaire ivoirien (Fpi) a célébré à sa manière le "11 avril", date de l’arrestation de son leader Laurent Gbagbo, à son siège provisoire sis à Cocody-Attoban. Son président Pascal Affi N'Guessan a saisi cette occasion pour lancer un appel à ses camarades du parti avec qui il est en rupture de ban.
« Je lance un appel solennel à tous nos camarades qui animent cette fronde incompréhensible et inopportune de rejoindre la légalité. La fronde et la déviance ne servent ni la cause de Laurent Gbagbo ni les intérêts du Fpi et de la Côte d’Ivoire », a lancé Pascal Affi N'Guessan à ces derniers. Il leur a par ailleurs indiqué qu’ils ont encore leur place dans toutes les instances du parti. « Vos camarades vous attendent les bras ouverts. Rassemblons-nous pour la libération de Laurent Gbagbo », a-t-il dit.
Selon lui, en commémorant le 11 avril, le Fpi veut dire aux Ivoiriens que l'espoir n’est pas perdu. « La Côte d’Ivoire doit sortir de cette situation. Et la seule voie pour le parti est celle de la démocratie et de la réconciliation nationale », a-t-il indiqué.
Le président du Fpi a également ajouté qu’il faut qu’en cette année 2015, les militants disent non à Alassane Ouattara par les urnes. « Il faut que la Côte d’Ivoire se mobilise pour ces élections et le Fpi sera présent à ce rendez-vous », a-t-il insisté. Il a par ailleurs révélé que les ambitions du Front populaire ivoirien dans cette bataille électorale qui s’annonce sont connues. « Il s’agit de mettre fin aux souffrances des Ivoiriens, de les réconcilier à travers la libération du président Gbagbo et fonder une nouvelle espérance. » C’est justement pour y arriver qu’il appelle au rassemblement.
Au cours de cette cérémonie, le président du Fpi, Pascal Affi N'Guessan, a présenté une équipe dirigée par Marcel Gossio qui conduira désormais « la lutte pour la libération de Laurent Gbagbo » et les dossiers chauds du parti.
Ouattara Ouakaltio
Correspondant communal