Le Rassemblement des enseignants républicains (Rer) a organisé un symposium le dimanche 26 avril 2015 à l’Hôtel Ivoire Golf club à Cocody sous le thème "le devoir de mémoire par l’écriture". La rencontre a vu la présence des ministres Cissé Ibrahima Bacongo, Adama Bictogo et Kandia Camara.
Patronne de la cérémonie, la ministre de l’Education nationale et de l’Enseignement technique Kandia Camara a salué l’initiative prise par le président du Rer Abdoulaye Kouyate d’organiser un symposium. Elle a souligné la nécessité pour les intellectuels du Rdr de s’approprier l’histoire du parti par le canal de l’écriture. Kandia a déploré que les actions menées par le Président Alassane Ouattara notamment la construction d’infrastructures, la construction de plus de 15000 salles de classes dans le primaire et de 170 établissements secondaires, le recrutement de 35000 enseignants ainsi que la restauration de la sécurité, ne soient pas vulgarisées par les intellectuels du Rdr à travers des livres. "Notre silence est inacceptable. Notre démission dans le domaine de la production intellectuelle doit être corrigée», a t-elle conseillé. Avant d’appeler les éditeurs à accompagner les intellectuels dans cette mission. Pour sa part, le parrain de la cérémonie le secrétaire général adjoint du Rdr chargé des questions et mouvements politiques Adama Bictogo a invité les intellectuels à vulgariser à travers des œuvres littéraires, les péripéties vécues par le Rdr depuis sa création : « Passer sous silence tous ces événements, est synonyme de démission face à notre propre conscience. Ce serait faire une amnésie dommageable à notre histoire. Ne tuons pas pour la deuxième fois ceux qui sont morts, afin que nos idéaux vivent. Pour ce faire, seuls les écrits peuvent pérenniser notre histoire ». Quant au président du Rer, il a indiqué que le symposium est la réalisation d’une voie tracée par le ministre Cissé Bacongo avec son ouvrage "Alassane Ouattara, une vie singulière". Kouyaté Abdoulaye a relèvé que le Rer a le devoir de mobiliser les intellectuels du Rdr « pour écrire la vraie histoire de la crise postélectorale d’une part et d’autre part pour donner notre lecture objective des crises structurelles et conjoncturelles de notre pays de 1990 à 2010 ».
Abdoulaye Touré
Patronne de la cérémonie, la ministre de l’Education nationale et de l’Enseignement technique Kandia Camara a salué l’initiative prise par le président du Rer Abdoulaye Kouyate d’organiser un symposium. Elle a souligné la nécessité pour les intellectuels du Rdr de s’approprier l’histoire du parti par le canal de l’écriture. Kandia a déploré que les actions menées par le Président Alassane Ouattara notamment la construction d’infrastructures, la construction de plus de 15000 salles de classes dans le primaire et de 170 établissements secondaires, le recrutement de 35000 enseignants ainsi que la restauration de la sécurité, ne soient pas vulgarisées par les intellectuels du Rdr à travers des livres. "Notre silence est inacceptable. Notre démission dans le domaine de la production intellectuelle doit être corrigée», a t-elle conseillé. Avant d’appeler les éditeurs à accompagner les intellectuels dans cette mission. Pour sa part, le parrain de la cérémonie le secrétaire général adjoint du Rdr chargé des questions et mouvements politiques Adama Bictogo a invité les intellectuels à vulgariser à travers des œuvres littéraires, les péripéties vécues par le Rdr depuis sa création : « Passer sous silence tous ces événements, est synonyme de démission face à notre propre conscience. Ce serait faire une amnésie dommageable à notre histoire. Ne tuons pas pour la deuxième fois ceux qui sont morts, afin que nos idéaux vivent. Pour ce faire, seuls les écrits peuvent pérenniser notre histoire ». Quant au président du Rer, il a indiqué que le symposium est la réalisation d’une voie tracée par le ministre Cissé Bacongo avec son ouvrage "Alassane Ouattara, une vie singulière". Kouyaté Abdoulaye a relèvé que le Rer a le devoir de mobiliser les intellectuels du Rdr « pour écrire la vraie histoire de la crise postélectorale d’une part et d’autre part pour donner notre lecture objective des crises structurelles et conjoncturelles de notre pays de 1990 à 2010 ».
Abdoulaye Touré
