Le Centre culturel Jacques Aka de Bouaké a accueilli le mercredi 6 mai 2015 une assemblée générale extraordinaire du Mouvement national de soutien aux actions de Soro Kigbafori (Monsask). Cette rencontre a permis le renouvellement les instances dudit mouvement. Un seul point était à l’ordre du jour; le limogeage de son président-fondateur Diallo Bouraima dit “Jacqou le croquant” selon Ouattara Lassina président intérimaire du Monsask. Diallo Bouraima a été limogé « pour arrogance, incivisme à travers des propos diffamatoires, refus de convoquer et de prendre part à des réunions du mouvement. A compter de ce jour, Jackou le Krockan n’est plus habilité à agir au nom du Monsask». Au terme de cette assemblée, six (6) résolutions ont été adoptées.
Notamment, l’adoption de l’ordre du jour et l’application de l’article 10 du statut et règlement intérieur qui donne quitus à l’assemblée de destituer le président en cas de non respect des textes. A en croire Ouattara Lassina, cette rencontre a aussi permis de faire le bilan de six (6) mois d’exercice. Outre le rapport d’activité de 2014 et le rapport financier de 2015, l’assemblée générale extraordinaire a abordé d’autres points relatifs à la problématique suivante : « Que sera le Monsask à partir de maintenant jusqu’à la veille des élections d’octobre 2015 ? » Selon son président par intérim, cette question revêt une grande importance : « C’est pour rappeler à tout le monde que le Monsask existe toujours et que nous maintenons le cap. Nous essayons toujours d’occuper le terrain », explique Ouattara Lassina. Il s’agira donc, a dit-il dit, pour les 51 membres du bureau exécutif de proposer et d’élaborer de nouveaux plans d’actions pour que leur mouvement soit plus « percutant et plus efficace sur le terrain ». Un terrain que le Monsask occupe depuis le 26 septembre 2014, année de sa création, avec au total plus de 4.000 adhérents issus de plusieurs sections présentes dans tous les quartiers de Bouaké et huit autres régions de la Côte (dont deux sections féminines). Joint au téléphone, le président démis, Diallo Bouraima a dit ne pas se reconnaitre dans les décisions prises lors de l’AGE. «Je ne les reconnais pas. C’est moi qui ai créé mon mouvement, certains ont toujours voulu mon poste de président malgré mes efforts. Car à les entendre, je suis illettré, donc je ne peux pas être en mesure de défendre les intérêts du mouvement. Qu’ils sachent que j’ai financé tout seul ce mouvement depuis sa création à ce jour. Je ne me laisserai pas faire», s’est-il défendu.
Aboubacar Al Syddick à Bouaké
Notamment, l’adoption de l’ordre du jour et l’application de l’article 10 du statut et règlement intérieur qui donne quitus à l’assemblée de destituer le président en cas de non respect des textes. A en croire Ouattara Lassina, cette rencontre a aussi permis de faire le bilan de six (6) mois d’exercice. Outre le rapport d’activité de 2014 et le rapport financier de 2015, l’assemblée générale extraordinaire a abordé d’autres points relatifs à la problématique suivante : « Que sera le Monsask à partir de maintenant jusqu’à la veille des élections d’octobre 2015 ? » Selon son président par intérim, cette question revêt une grande importance : « C’est pour rappeler à tout le monde que le Monsask existe toujours et que nous maintenons le cap. Nous essayons toujours d’occuper le terrain », explique Ouattara Lassina. Il s’agira donc, a dit-il dit, pour les 51 membres du bureau exécutif de proposer et d’élaborer de nouveaux plans d’actions pour que leur mouvement soit plus « percutant et plus efficace sur le terrain ». Un terrain que le Monsask occupe depuis le 26 septembre 2014, année de sa création, avec au total plus de 4.000 adhérents issus de plusieurs sections présentes dans tous les quartiers de Bouaké et huit autres régions de la Côte (dont deux sections féminines). Joint au téléphone, le président démis, Diallo Bouraima a dit ne pas se reconnaitre dans les décisions prises lors de l’AGE. «Je ne les reconnais pas. C’est moi qui ai créé mon mouvement, certains ont toujours voulu mon poste de président malgré mes efforts. Car à les entendre, je suis illettré, donc je ne peux pas être en mesure de défendre les intérêts du mouvement. Qu’ils sachent que j’ai financé tout seul ce mouvement depuis sa création à ce jour. Je ne me laisserai pas faire», s’est-il défendu.
Aboubacar Al Syddick à Bouaké
