Le président du Front populaire ivoirien (FPI, parti de l'ex-président Laurent Gbagbo) Pascal Affi Nguessan a appelé lundi les acteurs politiques à renoncer à la violence électorale, tout en proposant la signature d'un code de déontologie entre les candidats aux élections.
"Il s'agira d'un code de déontologie entre les candidats pour s'assurer que tous les candidats vont respecter les résultats des élections, qu'aucun candidat ne fera appel à la violence et que pour une fois la côte d'Ivoire va connaître des élections à l'issue desquelles le vainqueur sera salué par tous les vaincus et pourra donc se mettre au travail dans un environnement de convivialité et de sérénité, dans l'intérêt de notre pays", a expliqué M. Affi Nguessan lors d'un entretien accordé à des médias.
Le président du FPI a aussi exhorté la Commission électorale indépendante (CEI) à prendre des dispositions pour que les élections soient totalement sécurisées.
Il s'est par ailleurs réjoui de la reprise du dialogue entre le gouvernement et l'opposition. "Nous avons accepté d'aller au dialogue avec le pouvoir. Ceci montre notre volonté d'agir pour permettre à la Côte d'Ivoire de retrouver la stabilité politique et la démocratie", a-t-il conclu.
La Côte d'Ivoire s'apprête à organiser les élections générales avec en prime l'élection présidentielle prévue pour fin octobre.
"Il s'agira d'un code de déontologie entre les candidats pour s'assurer que tous les candidats vont respecter les résultats des élections, qu'aucun candidat ne fera appel à la violence et que pour une fois la côte d'Ivoire va connaître des élections à l'issue desquelles le vainqueur sera salué par tous les vaincus et pourra donc se mettre au travail dans un environnement de convivialité et de sérénité, dans l'intérêt de notre pays", a expliqué M. Affi Nguessan lors d'un entretien accordé à des médias.
Le président du FPI a aussi exhorté la Commission électorale indépendante (CEI) à prendre des dispositions pour que les élections soient totalement sécurisées.
Il s'est par ailleurs réjoui de la reprise du dialogue entre le gouvernement et l'opposition. "Nous avons accepté d'aller au dialogue avec le pouvoir. Ceci montre notre volonté d'agir pour permettre à la Côte d'Ivoire de retrouver la stabilité politique et la démocratie", a-t-il conclu.
La Côte d'Ivoire s'apprête à organiser les élections générales avec en prime l'élection présidentielle prévue pour fin octobre.