Le Front populaire ivoirien (FPI) de Pascal Affi N’Guessan a proposé lundi la mise en place d’un code de déontologie en vue de l’élection présidentielle d’octobre prochain.
Le Président du Front populaire ivoirien (FPI), Pascal Affi N’Guessan, a proposé lundi la mise en place d’un code de déontologie pour l’élection présidentielle d’octobre prochain.
Il s’agira pour chaque candidat à ce scrutin de s’engager à respecter les résultats de l’élection et de renoncer à l’usage de la violence.
Respecter les résultats de l’élection
Pascal Affi N’Guessan veut « s’assurer que tous les candidats vont respecter les résultats des élections, qu’aucun candidat ne fera appel à la violence et que pour une fois la Côte d’Ivoire va connaître des élections à l’issue desquelles le vainqueur sera salué par tous les vaincus », rapporte Xinhua.
Le Président du principal parti d’opposition, en pleine crise interne, s’est réjoui de la reprise du dialogue politique avec le gouvernement. L’opposition avait notamment critiqué le faible financement accordé par le pouvoir aux différents partis en course pour la prochaine élection.
La crise post-électorale survenue après la dernière élection présidentielle, en 2010, avait fait près de 3 000 morts après le déclenchement d’une guerre civile.
Le Président du Front populaire ivoirien (FPI), Pascal Affi N’Guessan, a proposé lundi la mise en place d’un code de déontologie pour l’élection présidentielle d’octobre prochain.
Il s’agira pour chaque candidat à ce scrutin de s’engager à respecter les résultats de l’élection et de renoncer à l’usage de la violence.
Respecter les résultats de l’élection
Pascal Affi N’Guessan veut « s’assurer que tous les candidats vont respecter les résultats des élections, qu’aucun candidat ne fera appel à la violence et que pour une fois la Côte d’Ivoire va connaître des élections à l’issue desquelles le vainqueur sera salué par tous les vaincus », rapporte Xinhua.
Le Président du principal parti d’opposition, en pleine crise interne, s’est réjoui de la reprise du dialogue politique avec le gouvernement. L’opposition avait notamment critiqué le faible financement accordé par le pouvoir aux différents partis en course pour la prochaine élection.
La crise post-électorale survenue après la dernière élection présidentielle, en 2010, avait fait près de 3 000 morts après le déclenchement d’une guerre civile.