Bonoua - A l’appel de leurs responsables, les jeunes de la Coalition nationale pour le changement (CNC, opposition) ont initié une marche de protestation qui a été dispersée par les forces de l’ordre, mardi, aux environs de 10 h à Bonoua.
Dès huit heures, c’est par petits groupes que ces jeunes ont entamé des marches éclatées dans les quartiers de la ville.
Munis de grelots et de branchages, le visage badigeonné de kaolin, ils se sont ensuite déversés sur l’axe principal, empêchant toute circulation.
Tous les commerces environnants ont fermé et les véhicules ont été contraints de se trouver d’autres passages dans les quartiers.
Face au nombre de manifestants qui ne cessait de grossir et à la gêne qui s’installait, la police locale a usé de gaz lacrymogènes pour les disperser sans enregistrer de blessé, ni d’interpellation.
La veille, les responsables locaux des jeunes de la CNC avaient fait circuler des tracts sous les manteaux et ont actionné leurs réseaux pour inviter les populations de Bonoua à sortir dans les rues pour, selon eux, protester, entre autres, contre les arrestations et détentions arbitraires des opposants, la forme actuelle de la CEI, la cherté de la vie, avec l’augmentation du prix du ciment et de l’électricité.
asl/aaa/akn/ask
Dès huit heures, c’est par petits groupes que ces jeunes ont entamé des marches éclatées dans les quartiers de la ville.
Munis de grelots et de branchages, le visage badigeonné de kaolin, ils se sont ensuite déversés sur l’axe principal, empêchant toute circulation.
Tous les commerces environnants ont fermé et les véhicules ont été contraints de se trouver d’autres passages dans les quartiers.
Face au nombre de manifestants qui ne cessait de grossir et à la gêne qui s’installait, la police locale a usé de gaz lacrymogènes pour les disperser sans enregistrer de blessé, ni d’interpellation.
La veille, les responsables locaux des jeunes de la CNC avaient fait circuler des tracts sous les manteaux et ont actionné leurs réseaux pour inviter les populations de Bonoua à sortir dans les rues pour, selon eux, protester, entre autres, contre les arrestations et détentions arbitraires des opposants, la forme actuelle de la CEI, la cherté de la vie, avec l’augmentation du prix du ciment et de l’électricité.
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