Divo – Le secrétaire général par intérim de l’union pour la démocratie et pour la paix (Udpci, proche du pouvoir) chargé des régions du Gôh et du Lôh-Djiboua, Coulibaly Famoussa, a achevé dimanche à Divo une visite aux 16 sections communales de son parti.
"Il s’agissait pour nous de vérifier l’existence réelle de ces sections et leur viabilité à la veille des prochaines échéances électorales", a expliqué Coulibaly Famoussa, par ailleurs quatrième secrétaire général adjoint du parti arc-en-ciel.
"Ce sont 16 sections installées et viables. Cela nous rassure, les responsables sur le terrain travaillent. Il faut continuer la mobilisation", a-t-il poursuivi.
La phase d’implantation de l’UDPCI dans la capitale régionale du Lôh-Djiboua ne va pas s’arrêter aux sections, a-t-on appris.
"Nous avons fini la grande structuration. Les secrétaires de sections vont prendre le relai en créant encore des comités de base. Nous sommes maintenant en train de finaliser l’élection des coordonateurs. Sur la base du nombre de sections que nous avons, nous devons avoir trois coordonateurs", a affirmé le secrétaire général.
Coulibaly Famoussa a rappelé l’engagement de la direction de son parti d’être une des principales forces qui va assurer la réélection du Chef l’Etat Alassane Ouattara lors de la présidentielle d’octobre 2015.
Pour cela il a engagé ses militants à maintenir la flamme de la mobilisation et surtout à participer à la révision de la liste électorale en cours pour ceux qui sont concernés par l’opération.
Depuis son offensive d’implantation lancée en 2010, le parti arc-en-ciel a changé de visage à Divo. Il s’est doté d’un grand siège entièrement équipé par le président du parti Albert Mabri Toikeusse.
Quelques 4000 cartes de membres ont été ventilées et le siège ne désemplit pas.
"Je ne suis pas sûr que beaucoup de soi-disant grands partis aient cet engouement. Les prochaines échéances vont attester les dires du président Mabri qui veut faire de Divo un bastion de l’UDPCI, se réjouit Coulibaly Famoussa.
gso/akn/ask
"Il s’agissait pour nous de vérifier l’existence réelle de ces sections et leur viabilité à la veille des prochaines échéances électorales", a expliqué Coulibaly Famoussa, par ailleurs quatrième secrétaire général adjoint du parti arc-en-ciel.
"Ce sont 16 sections installées et viables. Cela nous rassure, les responsables sur le terrain travaillent. Il faut continuer la mobilisation", a-t-il poursuivi.
La phase d’implantation de l’UDPCI dans la capitale régionale du Lôh-Djiboua ne va pas s’arrêter aux sections, a-t-on appris.
"Nous avons fini la grande structuration. Les secrétaires de sections vont prendre le relai en créant encore des comités de base. Nous sommes maintenant en train de finaliser l’élection des coordonateurs. Sur la base du nombre de sections que nous avons, nous devons avoir trois coordonateurs", a affirmé le secrétaire général.
Coulibaly Famoussa a rappelé l’engagement de la direction de son parti d’être une des principales forces qui va assurer la réélection du Chef l’Etat Alassane Ouattara lors de la présidentielle d’octobre 2015.
Pour cela il a engagé ses militants à maintenir la flamme de la mobilisation et surtout à participer à la révision de la liste électorale en cours pour ceux qui sont concernés par l’opération.
Depuis son offensive d’implantation lancée en 2010, le parti arc-en-ciel a changé de visage à Divo. Il s’est doté d’un grand siège entièrement équipé par le président du parti Albert Mabri Toikeusse.
Quelques 4000 cartes de membres ont été ventilées et le siège ne désemplit pas.
"Je ne suis pas sûr que beaucoup de soi-disant grands partis aient cet engouement. Les prochaines échéances vont attester les dires du président Mabri qui veut faire de Divo un bastion de l’UDPCI, se réjouit Coulibaly Famoussa.
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