Des violences liées à une manifestation de l'opposition ont fait un mort mardi soir à Guiglo (ouest), selon un communiqué du gouvernement publié mercredi dans les médias ivoiriens.
"Des affrontements au cours de ces manifestations non autorisées ont occasionné une perte en vie humaine", a déploré le ministre ivoirien de la Défense Paul Koffi Koffi, signataire de la note.
Selon une source sécuritaire, des marches organisées par l'opposition ont dégénéré en violence dans plusieurs villes du pays, faisant un mort à Guiglo et plusieurs blessés graves dans d'autres localités telles que Gagnoa (centre-ouest).
L'opposition ivoirienne réunie au sein de la Coalition nationale pour le changement (CNC) annonce pour sa part quatre morts, soutenant qu'en plus du décès de Guiglo, trois bébés ont trouvé la mort par "inhalation" à Gagnoa.
Le gouvernement ivoirien a réitéré sa "fermeté" contre des "manifestations illégales" et leurs "initiateurs" qui perturbent l'ordre public.
L'opposition ivoirienne avait appelé les Ivoiriens à manifester mardi dans tout le pays pour dénoncer la gestion du pouvoir.
La CNC réclame notamment de meilleures conditions pour des élections présidentielles plus transparentes et ce à travers la reconstitution de la Commission électorale indépendante (CEI) qu'elle juge "déséquilibrée et proche du pouvoir".
"Des affrontements au cours de ces manifestations non autorisées ont occasionné une perte en vie humaine", a déploré le ministre ivoirien de la Défense Paul Koffi Koffi, signataire de la note.
Selon une source sécuritaire, des marches organisées par l'opposition ont dégénéré en violence dans plusieurs villes du pays, faisant un mort à Guiglo et plusieurs blessés graves dans d'autres localités telles que Gagnoa (centre-ouest).
L'opposition ivoirienne réunie au sein de la Coalition nationale pour le changement (CNC) annonce pour sa part quatre morts, soutenant qu'en plus du décès de Guiglo, trois bébés ont trouvé la mort par "inhalation" à Gagnoa.
Le gouvernement ivoirien a réitéré sa "fermeté" contre des "manifestations illégales" et leurs "initiateurs" qui perturbent l'ordre public.
L'opposition ivoirienne avait appelé les Ivoiriens à manifester mardi dans tout le pays pour dénoncer la gestion du pouvoir.
La CNC réclame notamment de meilleures conditions pour des élections présidentielles plus transparentes et ce à travers la reconstitution de la Commission électorale indépendante (CEI) qu'elle juge "déséquilibrée et proche du pouvoir".