Abidjan - La coalition nationale pour le changement (CNC, opposition) a exprimé, samedi, son engagement à contribuer à l’instauration de "la démocratie vraie" en Côte d’Ivoire, par des actions visant à faire respecter le "droit et des lois en vigueur" dans le pays.
Les leaders de cette coalition ont exprimé cet engagement lors de leur premier meeting tenu à la place Ficgayo de Yopougon, sur le thème : "Démocrates ivoiriens, le pays nous appelle ".
"Il faut que la Côte d’Ivoire se construise dans la justice et la vérité », a clamé l’ex-Premier ministre Charles Konan Banny, quand Laurent Akoun de l’aile des frondeurs du Front populaire ivoirien (FPI), appelait pour sa part à la libération de leurs militants arrêtés après des manifestations émaillées de violentes organisées par ceux-ci, et que le gouvernement ivoirien n’avait pas autorisées. Des incidents qui avaient fait un mort à Guiglo dans l'Ouest, rappelle-t-on.
Kouadio Konan Bertin dit KKB, ex-président des jeunes du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI), ainsi que Mamadou Koulibaly, président de Liberté et démocratie pour la République, et Aboudramane Sangaré, leaders des frondeurs du FPI, ont également pris la parole à ce meeting qui a, de source policière, rassemblé quelque 3000 militants.
La CNC entend, à travers des meetings et des campagnes de sensibilisation, amener les Ivoiriens à adhérer à leur cause, "en vainquant la peur" et "attirer l’attention des dirigeants actuels" du pays.
La charte de la CNC, qui a été signée le 15 mai avec 12 membres, comptent à ce jour 19 partis et courants politiques.
(AIP)
ar/akn/tm
Les leaders de cette coalition ont exprimé cet engagement lors de leur premier meeting tenu à la place Ficgayo de Yopougon, sur le thème : "Démocrates ivoiriens, le pays nous appelle ".
"Il faut que la Côte d’Ivoire se construise dans la justice et la vérité », a clamé l’ex-Premier ministre Charles Konan Banny, quand Laurent Akoun de l’aile des frondeurs du Front populaire ivoirien (FPI), appelait pour sa part à la libération de leurs militants arrêtés après des manifestations émaillées de violentes organisées par ceux-ci, et que le gouvernement ivoirien n’avait pas autorisées. Des incidents qui avaient fait un mort à Guiglo dans l'Ouest, rappelle-t-on.
Kouadio Konan Bertin dit KKB, ex-président des jeunes du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI), ainsi que Mamadou Koulibaly, président de Liberté et démocratie pour la République, et Aboudramane Sangaré, leaders des frondeurs du FPI, ont également pris la parole à ce meeting qui a, de source policière, rassemblé quelque 3000 militants.
La CNC entend, à travers des meetings et des campagnes de sensibilisation, amener les Ivoiriens à adhérer à leur cause, "en vainquant la peur" et "attirer l’attention des dirigeants actuels" du pays.
La charte de la CNC, qui a été signée le 15 mai avec 12 membres, comptent à ce jour 19 partis et courants politiques.
(AIP)
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