Abidjan - La Représentante spéciale du Secrétaire général des Nations Unies pour la Côte d’Ivoire, Aïchatou Mindaoudou a accordée une audience mardi, à un candidat à la présidentielle d’octobre de Côte d’Ivoire, Essy Amara, au cours de laquelle ils ont eu à échanger sur la sécurité des élections, rapporte un communiqué de presse parvenu à l’AIP.
"J’ai été un acteur du Système des Nations Unies. Par ailleurs, je m’intéresse à tout ce qui se passe en Côte d’Ivoire, d’autant plus que nous allons vers des élections. Il y a beaucoup de rumeurs et de supputations. Nous avions tenu à venir parler avec la Représentante spéciale pour savoir ce qu’il en est pour la sécurité des élections", a confié M. Essy, à sa sortie d’audience.
Se prononçant sur sa relation avec la coalition nationale pour le changement (CNC), il a adhéré à l’idée d’intégrer ce groupement de partis politiques de l’opposition mais souhaite toutefois des amendements aux textes édictés en vue de rapprocher les points de vue des différentes formations membres.
Essy Amara a été ministre des Affaires étrangères sous le régime du président Henri Konan Bédié et président de la commission de l’Organisation de l’unité africaine (OUA), précise-t-on.
fmo/akn/kam
"J’ai été un acteur du Système des Nations Unies. Par ailleurs, je m’intéresse à tout ce qui se passe en Côte d’Ivoire, d’autant plus que nous allons vers des élections. Il y a beaucoup de rumeurs et de supputations. Nous avions tenu à venir parler avec la Représentante spéciale pour savoir ce qu’il en est pour la sécurité des élections", a confié M. Essy, à sa sortie d’audience.
Se prononçant sur sa relation avec la coalition nationale pour le changement (CNC), il a adhéré à l’idée d’intégrer ce groupement de partis politiques de l’opposition mais souhaite toutefois des amendements aux textes édictés en vue de rapprocher les points de vue des différentes formations membres.
Essy Amara a été ministre des Affaires étrangères sous le régime du président Henri Konan Bédié et président de la commission de l’Organisation de l’unité africaine (OUA), précise-t-on.
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