M. Barthélémy Gnépa, membre de la direction du Fpi, s’est entretenu avec les populations de Grand-Béréby, Kako et de Tabou, les 24 et 25 juillet derniers. Aux militants, le chargé de l’administration territoriale au Fpi a expliqué la candidature d’Affi N’Guessan à l’élection présidentielle de 2015. C’est avec conviction que l’émissaire du Fpi a lancé devant ses camarades de ces localités qu’« Affi N’Guessan va battre Ouattara dans les urnes ». Il répondait ainsi à la préoccupation majeure des militants qui s’interrogeaient sur les chances du candidat du Fpi. Barthélémy Gnépa a, par ailleurs, indiqué qu’il est hors de question que le Fpi ne prenne pas part à une élection en Côte d’Ivoire.
Il a invité les militants à sortir des émotions pour mener le combat pour la reconquête du pouvoir. « Nous sommes obligés d’aller aux élections pour dégager Ouattara. Pour le changement, le Fpi ne connait pas d’autres alternatives que les élections », a-t-il précisé. Avant de déplorer la crise qui secoue son parti depuis des mois. L’ex-président du conseil général de Tabou la qualifie de conflit de positionnement qui n’emportera pas l’héritage de Laurent Gbagbo. C’est pourquoi il a invité les frondeurs à se ressaisir et revenir pour ensemble continuer le combat.
Dans toutes les localités qu’il a parcourues, le vice-président du Fpi s’est voulu catégorique quant à la présidence du Fpi. « Laurent Gbagbo n’a jamais demandé à être président du Fpi. Ce n’est pas une préoccupation pour lui actuellement », a affirmé Barthélémy Gnépa qui a appelé les militants à l’union. Ceux-ci ont exhorté leurs leaders à s’asseoir et discuter.
A. DEBOLLEY
Il a invité les militants à sortir des émotions pour mener le combat pour la reconquête du pouvoir. « Nous sommes obligés d’aller aux élections pour dégager Ouattara. Pour le changement, le Fpi ne connait pas d’autres alternatives que les élections », a-t-il précisé. Avant de déplorer la crise qui secoue son parti depuis des mois. L’ex-président du conseil général de Tabou la qualifie de conflit de positionnement qui n’emportera pas l’héritage de Laurent Gbagbo. C’est pourquoi il a invité les frondeurs à se ressaisir et revenir pour ensemble continuer le combat.
Dans toutes les localités qu’il a parcourues, le vice-président du Fpi s’est voulu catégorique quant à la présidence du Fpi. « Laurent Gbagbo n’a jamais demandé à être président du Fpi. Ce n’est pas une préoccupation pour lui actuellement », a affirmé Barthélémy Gnépa qui a appelé les militants à l’union. Ceux-ci ont exhorté leurs leaders à s’asseoir et discuter.
A. DEBOLLEY
