Abidjan - Le Rassemblement des républicains (RDR) affirme n’être "mêlé ni de près ni de loin" dans la perturbation du meeting de la Coalition nationale pour le changement (CNC) a avorté pour cause de perturbations samedi à Korhogo, au nord de la Côte d’Ivoire.
"Le RDR n'est mêlé ni de près ni de loin de cette situation", déclare Joël N’Guessan, porte-parole du parti présidentiel, imputant ce meeting avorté de Korhogo à des "dissensions internes au Front populaire ivoirien (luttes entre les pro-Affi et les pro-Sangaré)".
Joël N’Guessan exhorte donc à toutes les composantes de l'opposition ivoirienne à gérer leurs contradictions internes et arrêter de toujours faire porter le chapeau au pouvoir.
"Le Président Alassane Ouattara a promis une élection présidentielle apaisée en octobre 2015. Il en sera ainsi et ce, malgré le désir de certains dirigeants politiques de l'opposition de voir les troubles s'installer en Côte d'Ivoire à l'occasion de la prochaine élection", fait remarquer le secrétaire général adjoint chargé de la communication du RDR.
Selon lui, la Côte d'Ivoire et les Ivoiriens, dans leur grande majorité, ne souhaitent plus revivre la crise postélectorale de 2010.
(AIP)
kp
"Le RDR n'est mêlé ni de près ni de loin de cette situation", déclare Joël N’Guessan, porte-parole du parti présidentiel, imputant ce meeting avorté de Korhogo à des "dissensions internes au Front populaire ivoirien (luttes entre les pro-Affi et les pro-Sangaré)".
Joël N’Guessan exhorte donc à toutes les composantes de l'opposition ivoirienne à gérer leurs contradictions internes et arrêter de toujours faire porter le chapeau au pouvoir.
"Le Président Alassane Ouattara a promis une élection présidentielle apaisée en octobre 2015. Il en sera ainsi et ce, malgré le désir de certains dirigeants politiques de l'opposition de voir les troubles s'installer en Côte d'Ivoire à l'occasion de la prochaine élection", fait remarquer le secrétaire général adjoint chargé de la communication du RDR.
Selon lui, la Côte d'Ivoire et les Ivoiriens, dans leur grande majorité, ne souhaitent plus revivre la crise postélectorale de 2010.
(AIP)
kp