« Laurent Gbagbo est un miroir pour nous. Mais pourquoi les gens veulent nous détourner de la voix du dialogue qu’il nous a enseignée ? Les Ivoiriens et la classe politique doivent tirer des leçons du passé. Ceux qui aiment Laurent Gbagbo, Charles Blé Goudé et autres prisonniers et exilés politiques, ne doivent pas défier l’Etat. C’est la voie du dialogue qu’il faut emprunter pour faciliter le retour au pays et la libération des camarades afin qu’ensemble, nous bâtissions cette nation ». Ces propos ont été tenus par Zady Djédjé, le président de la Coalition pour l’émergence (CPE). C’était lors d’une rencontre qu’il a initiée avec plusieurs autres leaders de la nouvelle plateforme politique, le vendredi dernier, à la salle des Fêtes de Koumassi.
Pour Zady Djédjé et ses camarades, un pays ne peut pas avancer sur un pied. Pour avancer, ont-ils insisté, le pays a besoin de faire le chevauchement des jambes. Dans ce sens, tous les fils et filles doivent s’inviter à la table du retour à la paix sociale, la stabilité et au développement de la Côte d’Ivoire. «Que chacun se batte pour donner à la Côte d’Ivoire ce qu’il a de mieux. Femmes et jeunes de Côte d’Ivoire, soyez des ambassadeurs de la paix. Ne suivez plus ceux qui tiennent des discours haineux. Faisons le sacrifice qu’il faut pour que Laurent Gbagbo nous revienne. Si c’est le sacrifice qu’il faut faire, alors faisons-le car un sacrifice n’est jamais de trop », a soutenu Zady Djédjé.
Dans cette volonté de reconstruction et de retour à la cohésion sociale, les leaders de la CPE ont souhaité que la jeunesse ne se fasse plus manipuler. Elle doit ; selon eux, être responsable et prendre son destin en main. C’est d’ailleurs pour cette raison que la coalition a été mise en place pour éclairer la lanterne de la jeunesse pour l’emmener à s’interroger sur son destin et lui donner un souffle d’espoir, a expliqué son premier responsable. «Chers camarades, je suis venu à Koumassi pour vous expliquer le but de notre coalition. Je ne suis pas là pour répondre aux personnes qui nous prennent pour des traîtres alors qu’ils ont été les premiers à abandonner la lutte », a expliqué Zady Djédjé. Avant de s’interroge: «Si les jeunes de Côte d’Ivoire ne prennent pas leur responsabilité, qui va le faire à leur place » ?
Zady Djédjé a fini par exhorter tous ses camarades à sortir de leur cachette. Et ce, non pas pour suivre aveuglement le politique et se faire abuser, mais pour exprimer leurs prises en charge et leur indépendance sociale.
KOUKOUGNON Zabril
Pour Zady Djédjé et ses camarades, un pays ne peut pas avancer sur un pied. Pour avancer, ont-ils insisté, le pays a besoin de faire le chevauchement des jambes. Dans ce sens, tous les fils et filles doivent s’inviter à la table du retour à la paix sociale, la stabilité et au développement de la Côte d’Ivoire. «Que chacun se batte pour donner à la Côte d’Ivoire ce qu’il a de mieux. Femmes et jeunes de Côte d’Ivoire, soyez des ambassadeurs de la paix. Ne suivez plus ceux qui tiennent des discours haineux. Faisons le sacrifice qu’il faut pour que Laurent Gbagbo nous revienne. Si c’est le sacrifice qu’il faut faire, alors faisons-le car un sacrifice n’est jamais de trop », a soutenu Zady Djédjé.
Dans cette volonté de reconstruction et de retour à la cohésion sociale, les leaders de la CPE ont souhaité que la jeunesse ne se fasse plus manipuler. Elle doit ; selon eux, être responsable et prendre son destin en main. C’est d’ailleurs pour cette raison que la coalition a été mise en place pour éclairer la lanterne de la jeunesse pour l’emmener à s’interroger sur son destin et lui donner un souffle d’espoir, a expliqué son premier responsable. «Chers camarades, je suis venu à Koumassi pour vous expliquer le but de notre coalition. Je ne suis pas là pour répondre aux personnes qui nous prennent pour des traîtres alors qu’ils ont été les premiers à abandonner la lutte », a expliqué Zady Djédjé. Avant de s’interroge: «Si les jeunes de Côte d’Ivoire ne prennent pas leur responsabilité, qui va le faire à leur place » ?
Zady Djédjé a fini par exhorter tous ses camarades à sortir de leur cachette. Et ce, non pas pour suivre aveuglement le politique et se faire abuser, mais pour exprimer leurs prises en charge et leur indépendance sociale.
KOUKOUGNON Zabril