Excellence monsieur le premier ministre, ministre de l’économie, des finances et du budget
Monsieur le représentant du gouverneur du district d’Abidjan,
Monsieur le président de la coordination des maires du district d’Abidjan,
Madame et messieurs les maires et conseillers municipaux du district d’Abidjan, chers collègues,
Mesdames et messieurs les directeurs, sous-directeurs et chefs de service,
Mesdames et messieurs les responsables des organisations de la société civile,
Vénérés chefs religieux,
Distingues chefs traditionnels et coutumiers,
Vaillantes populations du district d’Abidjan et de Treichville,
Chers amis jeunes,
Honorables invites, artisans de la paix,
Mesdames et messieurs, vous toutes et tous en votre grade, qualité et distinction,
Je voudrais, au nom du conseil municipal, au nom des vaillantes populations et en mon nom propre, vous saluer et vous souhaiter la bienvenue, dans la commune de Treichville, labellisée désormais le cite n’Zassa.
L’appellation de cite n’zassa associe a la commune de Treichville, appellation tirée du terroir culturel akan désignant l’assemblage de plusieurs morceaux de tissus pour la confection d’une étoffe diaprée, témoigne en amont des prédispositions de nos populations a vivre toujours ensemble, dans le respect des diversités.
Vous comprendrez aisément notre joie d’accueillir cet après-midi, cette rencontre initiée par la coordination des maires du district d’Abidjan, pour célébrer une vertu universellement recherchée, à savoir la paix.
Oui la paix, ce terme cher a notre pays, cette vertu cardinale prônée par toutes les religions révélées, cette disposition d’esprit mise en relief par de nombreux savants et chercheurs de notre monde, mérite d’être célébrée et rappelée quotidiennement.
Les récents attentats perpétrés à paris, viennent nous rappeler que la paix est une denrée rare, que nous devons tous préserver.
Cette tribune, me permet de traduire la compassion de la commune de Treichville à la ville de paris et au peuple français.
Honorables invites, la paix, bien plus d’être une vertu, mérite d’être vécue, pratiquée, conservée et adoptée par chacune et chacun d’entre nous.
Il me plait a cet effet, de saluer très particulièrement l’invite de marque de cette rencontre, en l’occurrence, monsieur le premier ministre Daniel Kablan DUNCAN, dont l’agenda avec Treichville est devenu assez régulier, et les populations et nous-mêmes, s’en réjouissons.
Monsieur le premier ministre, notre pays, fière héritière du label de la paix porte par le père fondateur de la cote d’ivoire moderne, feu président Félix Houphouët Boigny, est en train d’écrire une ère d’émergence, sous la présidence de son excellence monsieur Alassane OUATTARA et du gouvernement que vous dirigez si brillamment.
Au cœur de cette ère, la réconciliation et la paix sont des chantiers tandem que vous impulsez et que vous vivez avec les ivoiriens, las de l’écartèlement que notre pays a vécu au cours de cette décennie.
Et a vos cotes, les gestionnaires de cites et élus locaux que nous sommes, ne peuvent rester spectateurs.
C’est pourquoi, je voudrais au nom du conseil municipal et des braves populations de la cite n’zassa, vous témoigner notre reconnaissance et vous rassurer de notre disposition à œuvrer pour une paix durable dans les cœurs et les esprits.
Dans cette entreprise, monsieur le premier ministre, honorables invites, nous ne saurions bâtir des cites paisibles, sans l’appui des dépositaires de nos us et coutumes, et des hommes de foi et de piète.
C’est pourquoi, je voudrais, saluer et remercier également, pour leur présence et leur implication inaltérable, en faveur de la paix, les guides religieux, les chefs coutumiers et traditionnels.
Révérends pères, révérendes sœurs, chers imams et hommes de foi, nous vous disons merci pour vos prières et vos messages de paix, de cohésion, de fraternité, de tolérance et de pardon.
Vos exhortations doivent toujours entretenir le « vivre ensemble » prône par les plus hautes autorités de ce pays, comme nous le recommandent encore plus les saintes écritures.
La célébration œcuménique de cette édition en illustre bien cette nécessite, ce devoir pour tous les enfants de la cote d’ivoire, une et indivisible, pour son développement.
A vos cotes, je voudrais également saluer de façon distincte, nos tètes couronnées et leur notabilité, ainsi que les chefs de communautés (ivoiriennes et des pays frères) pour leur présence et leurs initiatives, en faveur de l’entente entre nos populations.
Merci a vous qui dans votre sagesse nous rappellent bien souvent et surtout aux jeunes générations, qu’« un vieillard assis voit plus loin qu’un enfant debout ».
Cela me permet, a ce stade de mon propos, de lancer une adresse particulière à la vaillante jeunesse qui a répondu présente à cette invitation.
Chers amis jeunes, comme je le dis tres souvent, vous n’êtes pas que l’avenir, vous n’êtes pas que la projection, c’est-a-dire, demain, vous êtes les partenaires d’aujourd’hui, le présent avec lequel il faut se projeter, il faut construire.
Et c’est en cela que vous êtes appelés, a bâtir avec nous vos aines et parents, la paix.
Les attentats qui viennent de secouer paris, il y trois jours viennent nous interpeler sur les valeurs humaines, sur le besoin de paix et de tranquillité.
Je voudrais, profiter de cette tribune pour dire la compassion de la commune de Treichville, à la ville de paris et au peuple français.
Le président Félix Houphouët Boigny nous laisse cette pensée comme héritage a tous : « la paix, ce n’est pas un vain mot, c’est un comportement ».
Alors vous devez être des artisans de paix qu’on ne manipule pas pour servir de chair à canon ou d’applaudimètres, mais des jeunes responsables, patients, tolérants, pacifiques et unis.
honorables invites, Treichville a l’instar des communes du district d’Abidjan se veut aujourd’hui, plus que jamais en phase avec la volonté du peuple ivoirien de se réconcilier et de regarder dans la même direction pour le bien être de toutes les filles et tous les fils de notre pays, ainsi que l’ensemble des frères et sœurs vivant avec nous depuis des lustres.
Et c’est pourquoi, je voudrais saluer encore une fois la présente initiative et féliciter mes pairs pour leur présence massive a cette rencontre qui vient témoigner de l’engagement des élus locaux du district d’Abidjan a faire de la paix un indicateur de choix, dans le développement de nos cites.
Merci chers collègues pour cet esprit fraternel et pour les efforts que vous abattez chaque jour dans vos communes pour préserver la paix et la cohésion de nos populations.
En ma qualité de ministre des sports et des loisirs, et en lien avec vous, mesdames et messieurs les maires, (je parle sous le contrôle de monsieur le premier ministre) je soumettrai au gouvernement un projet d’institutionnalisation d’un tournoi national de la paix des collectivités territoriales, dont la finale sera disputée chaque 15 novembre, lors de la célébration de la journée nationale de la paix.
Monsieur le premier ministre, honorables invites, mesdames et messieurs, c’est sur cet appel renouvèle a construire une paix durable, tant dans les cœurs que par les actes quotidiens, que je veux vous réitérer la gratitude du conseil municipal de Treichville et souhaiter une bonne fête de la paix 2015, a toutes et a tous.
Je vous remercie.
Monsieur le représentant du gouverneur du district d’Abidjan,
Monsieur le président de la coordination des maires du district d’Abidjan,
Madame et messieurs les maires et conseillers municipaux du district d’Abidjan, chers collègues,
Mesdames et messieurs les directeurs, sous-directeurs et chefs de service,
Mesdames et messieurs les responsables des organisations de la société civile,
Vénérés chefs religieux,
Distingues chefs traditionnels et coutumiers,
Vaillantes populations du district d’Abidjan et de Treichville,
Chers amis jeunes,
Honorables invites, artisans de la paix,
Mesdames et messieurs, vous toutes et tous en votre grade, qualité et distinction,
Je voudrais, au nom du conseil municipal, au nom des vaillantes populations et en mon nom propre, vous saluer et vous souhaiter la bienvenue, dans la commune de Treichville, labellisée désormais le cite n’Zassa.
L’appellation de cite n’zassa associe a la commune de Treichville, appellation tirée du terroir culturel akan désignant l’assemblage de plusieurs morceaux de tissus pour la confection d’une étoffe diaprée, témoigne en amont des prédispositions de nos populations a vivre toujours ensemble, dans le respect des diversités.
Vous comprendrez aisément notre joie d’accueillir cet après-midi, cette rencontre initiée par la coordination des maires du district d’Abidjan, pour célébrer une vertu universellement recherchée, à savoir la paix.
Oui la paix, ce terme cher a notre pays, cette vertu cardinale prônée par toutes les religions révélées, cette disposition d’esprit mise en relief par de nombreux savants et chercheurs de notre monde, mérite d’être célébrée et rappelée quotidiennement.
Les récents attentats perpétrés à paris, viennent nous rappeler que la paix est une denrée rare, que nous devons tous préserver.
Cette tribune, me permet de traduire la compassion de la commune de Treichville à la ville de paris et au peuple français.
Honorables invites, la paix, bien plus d’être une vertu, mérite d’être vécue, pratiquée, conservée et adoptée par chacune et chacun d’entre nous.
Il me plait a cet effet, de saluer très particulièrement l’invite de marque de cette rencontre, en l’occurrence, monsieur le premier ministre Daniel Kablan DUNCAN, dont l’agenda avec Treichville est devenu assez régulier, et les populations et nous-mêmes, s’en réjouissons.
Monsieur le premier ministre, notre pays, fière héritière du label de la paix porte par le père fondateur de la cote d’ivoire moderne, feu président Félix Houphouët Boigny, est en train d’écrire une ère d’émergence, sous la présidence de son excellence monsieur Alassane OUATTARA et du gouvernement que vous dirigez si brillamment.
Au cœur de cette ère, la réconciliation et la paix sont des chantiers tandem que vous impulsez et que vous vivez avec les ivoiriens, las de l’écartèlement que notre pays a vécu au cours de cette décennie.
Et a vos cotes, les gestionnaires de cites et élus locaux que nous sommes, ne peuvent rester spectateurs.
C’est pourquoi, je voudrais au nom du conseil municipal et des braves populations de la cite n’zassa, vous témoigner notre reconnaissance et vous rassurer de notre disposition à œuvrer pour une paix durable dans les cœurs et les esprits.
Dans cette entreprise, monsieur le premier ministre, honorables invites, nous ne saurions bâtir des cites paisibles, sans l’appui des dépositaires de nos us et coutumes, et des hommes de foi et de piète.
C’est pourquoi, je voudrais, saluer et remercier également, pour leur présence et leur implication inaltérable, en faveur de la paix, les guides religieux, les chefs coutumiers et traditionnels.
Révérends pères, révérendes sœurs, chers imams et hommes de foi, nous vous disons merci pour vos prières et vos messages de paix, de cohésion, de fraternité, de tolérance et de pardon.
Vos exhortations doivent toujours entretenir le « vivre ensemble » prône par les plus hautes autorités de ce pays, comme nous le recommandent encore plus les saintes écritures.
La célébration œcuménique de cette édition en illustre bien cette nécessite, ce devoir pour tous les enfants de la cote d’ivoire, une et indivisible, pour son développement.
A vos cotes, je voudrais également saluer de façon distincte, nos tètes couronnées et leur notabilité, ainsi que les chefs de communautés (ivoiriennes et des pays frères) pour leur présence et leurs initiatives, en faveur de l’entente entre nos populations.
Merci a vous qui dans votre sagesse nous rappellent bien souvent et surtout aux jeunes générations, qu’« un vieillard assis voit plus loin qu’un enfant debout ».
Cela me permet, a ce stade de mon propos, de lancer une adresse particulière à la vaillante jeunesse qui a répondu présente à cette invitation.
Chers amis jeunes, comme je le dis tres souvent, vous n’êtes pas que l’avenir, vous n’êtes pas que la projection, c’est-a-dire, demain, vous êtes les partenaires d’aujourd’hui, le présent avec lequel il faut se projeter, il faut construire.
Et c’est en cela que vous êtes appelés, a bâtir avec nous vos aines et parents, la paix.
Les attentats qui viennent de secouer paris, il y trois jours viennent nous interpeler sur les valeurs humaines, sur le besoin de paix et de tranquillité.
Je voudrais, profiter de cette tribune pour dire la compassion de la commune de Treichville, à la ville de paris et au peuple français.
Le président Félix Houphouët Boigny nous laisse cette pensée comme héritage a tous : « la paix, ce n’est pas un vain mot, c’est un comportement ».
Alors vous devez être des artisans de paix qu’on ne manipule pas pour servir de chair à canon ou d’applaudimètres, mais des jeunes responsables, patients, tolérants, pacifiques et unis.
honorables invites, Treichville a l’instar des communes du district d’Abidjan se veut aujourd’hui, plus que jamais en phase avec la volonté du peuple ivoirien de se réconcilier et de regarder dans la même direction pour le bien être de toutes les filles et tous les fils de notre pays, ainsi que l’ensemble des frères et sœurs vivant avec nous depuis des lustres.
Et c’est pourquoi, je voudrais saluer encore une fois la présente initiative et féliciter mes pairs pour leur présence massive a cette rencontre qui vient témoigner de l’engagement des élus locaux du district d’Abidjan a faire de la paix un indicateur de choix, dans le développement de nos cites.
Merci chers collègues pour cet esprit fraternel et pour les efforts que vous abattez chaque jour dans vos communes pour préserver la paix et la cohésion de nos populations.
En ma qualité de ministre des sports et des loisirs, et en lien avec vous, mesdames et messieurs les maires, (je parle sous le contrôle de monsieur le premier ministre) je soumettrai au gouvernement un projet d’institutionnalisation d’un tournoi national de la paix des collectivités territoriales, dont la finale sera disputée chaque 15 novembre, lors de la célébration de la journée nationale de la paix.
Monsieur le premier ministre, honorables invites, mesdames et messieurs, c’est sur cet appel renouvèle a construire une paix durable, tant dans les cœurs que par les actes quotidiens, que je veux vous réitérer la gratitude du conseil municipal de Treichville et souhaiter une bonne fête de la paix 2015, a toutes et a tous.
Je vous remercie.