Le Congrès national populaire (Cnp). C’est le nom d’un nouveau parti politique ivoirien créé par Gnamantêh Nanankoua, journaliste, écrivain et professeur certifié d’Anglais à la retraite. Le samedi 19 décembre 2015, à la salle des fêtes de Koumassi, Gnamantêh Nanankoua, le président du Cnp, a présenté son parti et ses objectifs.
« La fibre nationaliste à visage humain ». Tel est le crédo sous lequel a été présenté le Cnp lors de sa rentrée politique du samedi 19 décembre 2015. Plus précisément, a indiqué Gnamantêh Nanankoua, le Cnp a été créé pour défendre les droits terriens des autochtones. « Nous avons créé le Cnp parce que la terre de Côte d’Ivoire est menacée. La terre de Côte d’Ivoire n’appartient plus aux Ivoiriens ! Notre philosophie au Cnp, c’est le culte et la vénération de la terre ivoirienne. C’est la sauvegarde de notre lebensraum, c’est-à-dire l’espace vital de l’autochtone ivoirien, pour que cessent les palabres dans nos forêts, surtout dans l’ouest et le nord ivoiriens », a expliqué Gnamantêh, le président du Cnp, par ailleurs candidat recalé à la présidentielle du 25 octobre 2015. Selon le président du Cnp, de gros nuages noirs planent sur l’avenir de la Côte d’Ivoire qui s’appauvrit chaque jour à cause de la surcharge démocratique, de la dette extérieure, de l’impuissance du pouvoir actuel, face à la misère du peuple, face au désordre et, dernièrement, face à l’histoire des “écoutes téléphoniques’’.
Alassane Ouattara, estime Gnamantêh, n’a pas réussi la réconciliation des Ivoiriens. « Il y a encore beaucoup trop de prisonniers politiques en Côte d’Ivoire et à La Haye, sans oublier les exilés. (…) Le Cnp espère que dans son message de fin d’année à la nation, le jeudi 31 décembre 2015, le chef de l’Etat, Alassane Ouattara, prendra une mesure d’amnistie générale pour tous les prisonniers politiques et exilés », a souhaité le président du Cnp, avant de s’opposer à la modification de la constitution ivoirienne. Au terme de cette rentrée politique, 11 résolutions suivant le discours d’orientation de Gnamantêh, ont été adoptées par les militants du Cnp.
Alex A
« La fibre nationaliste à visage humain ». Tel est le crédo sous lequel a été présenté le Cnp lors de sa rentrée politique du samedi 19 décembre 2015. Plus précisément, a indiqué Gnamantêh Nanankoua, le Cnp a été créé pour défendre les droits terriens des autochtones. « Nous avons créé le Cnp parce que la terre de Côte d’Ivoire est menacée. La terre de Côte d’Ivoire n’appartient plus aux Ivoiriens ! Notre philosophie au Cnp, c’est le culte et la vénération de la terre ivoirienne. C’est la sauvegarde de notre lebensraum, c’est-à-dire l’espace vital de l’autochtone ivoirien, pour que cessent les palabres dans nos forêts, surtout dans l’ouest et le nord ivoiriens », a expliqué Gnamantêh, le président du Cnp, par ailleurs candidat recalé à la présidentielle du 25 octobre 2015. Selon le président du Cnp, de gros nuages noirs planent sur l’avenir de la Côte d’Ivoire qui s’appauvrit chaque jour à cause de la surcharge démocratique, de la dette extérieure, de l’impuissance du pouvoir actuel, face à la misère du peuple, face au désordre et, dernièrement, face à l’histoire des “écoutes téléphoniques’’.
Alassane Ouattara, estime Gnamantêh, n’a pas réussi la réconciliation des Ivoiriens. « Il y a encore beaucoup trop de prisonniers politiques en Côte d’Ivoire et à La Haye, sans oublier les exilés. (…) Le Cnp espère que dans son message de fin d’année à la nation, le jeudi 31 décembre 2015, le chef de l’Etat, Alassane Ouattara, prendra une mesure d’amnistie générale pour tous les prisonniers politiques et exilés », a souhaité le président du Cnp, avant de s’opposer à la modification de la constitution ivoirienne. Au terme de cette rentrée politique, 11 résolutions suivant le discours d’orientation de Gnamantêh, ont été adoptées par les militants du Cnp.
Alex A