Le rassemblement du peuple de Côte d’Ivoire (RPCI) a animé une conférence de presse, à son siège situé à Angré, le samedi 19 décembre 2015, au cours de laquelle il a donné sa position sur l’environnement sociopolitique du pays.
Pour le RPCI, les événements sociopolitiques nationaux survenus après l’election présidentielle du 25 octobre 2015 et la prise de fonction du Président de la République préoccupent et interpellent tout Ivoirien démocrate, épris de justice, de paix et soucieux de la reconstruction de la Côte d’Ivoire. C’est pourquoi, au titre de la résurgence de la violence en milieu scolaire, le parti de Bamba Moriféré, convaincu que seules « la paix et la quiétude constituent des facteurs essentiels à des études crédibles, condamne fermement les affrontements indignes des étudiants ». Le RPCI s’insurge, cependant contre toute tentative et velléité de dissolution des organisations estudiantines, dont l’objectif « n’est ni plus ni moins que de réinstaurer la pensée unique en milieu universitaire ». Pour lui, les étudiants ne doivent pas se fondre dans un mouvement unique, contraire à la liberté d’association.
Des défis actuels de la Côte d’Ivoire
Concernant les défis actuels du pays, le RPCI attend que le Président de la République et le gouvernement s’attèlent avec célérité, à prendre en compte des actes démocratiques majeurs, notamment ; la relecture de la constitution du premier août 2000 en vue de doter la Côte d’Ivoire d’une loi fondamentale digne du pays ; la consolidation et l’enracinement des valeurs démocratiques en Côte d’Ivoire ; la problématique de l’alternance 2020. Concernant l’alternance, le RPCI se dit convaincu que le peuple ivoirien qui a déjà montré sa pleine maturité politique et son sens de responsabilité dans les moments critiques de la vie de la nation ivoirienne, saura exercer sa pleine souveraineté pour choisir librement, à l’élection présidentielle de 2020, celui ou celle qui incarne véritablement ses aspirations les plus profondes.
Des écoutes téléphoniques Soro-Bassolé et l’affaire Michel Gbagbo
A ce niveau, le RPCI a demandé au gouvernement de faire toute la lumière sur les écoutes téléphoniques Soro-Bassolé afin d’éclairer le peuple ivoirien pour que le parti puisse prendre position. En outre, le récent mandat d’amener lancé contre le Président de l’Assemblée nationale, Guillaume Soro, par la justice française sur plainte de Michel Gbagbo, citoyen français, « nous interpelle et notre parti s’indigne de l’attitude de la justice française à l’égard d’une personnalité ivoirienne en visite officielle », a conclu le secrétaire général du Rassemblement du peuple de Côte d’Ivoire, Coulibaly Jérôme.
HG
Pour le RPCI, les événements sociopolitiques nationaux survenus après l’election présidentielle du 25 octobre 2015 et la prise de fonction du Président de la République préoccupent et interpellent tout Ivoirien démocrate, épris de justice, de paix et soucieux de la reconstruction de la Côte d’Ivoire. C’est pourquoi, au titre de la résurgence de la violence en milieu scolaire, le parti de Bamba Moriféré, convaincu que seules « la paix et la quiétude constituent des facteurs essentiels à des études crédibles, condamne fermement les affrontements indignes des étudiants ». Le RPCI s’insurge, cependant contre toute tentative et velléité de dissolution des organisations estudiantines, dont l’objectif « n’est ni plus ni moins que de réinstaurer la pensée unique en milieu universitaire ». Pour lui, les étudiants ne doivent pas se fondre dans un mouvement unique, contraire à la liberté d’association.
Des défis actuels de la Côte d’Ivoire
Concernant les défis actuels du pays, le RPCI attend que le Président de la République et le gouvernement s’attèlent avec célérité, à prendre en compte des actes démocratiques majeurs, notamment ; la relecture de la constitution du premier août 2000 en vue de doter la Côte d’Ivoire d’une loi fondamentale digne du pays ; la consolidation et l’enracinement des valeurs démocratiques en Côte d’Ivoire ; la problématique de l’alternance 2020. Concernant l’alternance, le RPCI se dit convaincu que le peuple ivoirien qui a déjà montré sa pleine maturité politique et son sens de responsabilité dans les moments critiques de la vie de la nation ivoirienne, saura exercer sa pleine souveraineté pour choisir librement, à l’élection présidentielle de 2020, celui ou celle qui incarne véritablement ses aspirations les plus profondes.
Des écoutes téléphoniques Soro-Bassolé et l’affaire Michel Gbagbo
A ce niveau, le RPCI a demandé au gouvernement de faire toute la lumière sur les écoutes téléphoniques Soro-Bassolé afin d’éclairer le peuple ivoirien pour que le parti puisse prendre position. En outre, le récent mandat d’amener lancé contre le Président de l’Assemblée nationale, Guillaume Soro, par la justice française sur plainte de Michel Gbagbo, citoyen français, « nous interpelle et notre parti s’indigne de l’attitude de la justice française à l’égard d’une personnalité ivoirienne en visite officielle », a conclu le secrétaire général du Rassemblement du peuple de Côte d’Ivoire, Coulibaly Jérôme.
HG