L’EPP Assabou-Kouassikro avait besoin de rénovation depuis la construction du premier bâtiment de trois classes par l’Etat en 1979. Aujourd’hui c’est chose faite grâce à la Société Ivoirienne de Banque (SIB) et le lobbying de Christian Koffi, fils de la région.
« Nous avons sollicité une aide pour notre école. Après un constat fait en personne par le PCA de la banque (N’dia Georges NDLR), nous avons obtenu un financement de 10 millions sous forme de don qui a permis la reprise complète de la toiture, la peinture, la réhabilitation des logements des instituteurs, etc...pour un total de 14 millions dont 4 apportés par les cadres et les populations du village", a expliqué Christian Koffi, par ailleurs président du Comité de privatisation.
Aussi, dans le but de faire de leur établissement un établissement de référence, il a sollicité auprès de ses généreux donateurs et du Gouvernement un appui pour la construction d’un 5e logement de maître, d’une école maternelle et d’une cantine.
« Cette mission est une mission sociétale et pour l’environnement. Nous essayons d’aider dans le domaine culturel sanitaire et éducationnel », a indiqué N’dia Georges, Président du Conseil d’Administration de la SIB.
Dans son adresse, N’Dia Georges a invité les cadres et fils du village et de la région en général « à moins de disputes, à plus de cohésion et d’action concertées pour faire suivre l’exemple et pour un développement réel de leurs villages et régions ».
Poursuivant il a expliqué que « Dans un pays, celui qui commande c’est le politique et il constitue avec le secteur privé des locomotives. Dans cette approche nous avons le devoir de bien travailler et dire la vérité à nos patrons. Nous ne pouvons pas rester indifférents au développement communautaire. C’est simplement notre devoir ».
Aux élèves, le PCA de la SIB a conseillé la propreté afin de garantir l’avenir car dira-t-il, ’’la propreté n’est pas seulement physique mais aussi morale’’.
Députée de Sakassou, N’dia Marie-Ange s’est réjouie du don qui va ’’certainement améliorer les conditions de travail des élèves et des enseignants’’ avant de rappeler son combat pour le développement qui n’est pas du tout facile avec les besoins des populations en eau, électricité et infrastructures routières. « Même dans la discrétion, on travaille » a-t-elle ajoutée en réponse à certaines mauvaises langues.
La députée de Sakassou s’est donnée pour mission de réunir tous les fils et filles cadres des 172 villages de la région afin de contribuer efficacement au développement de l’ensemble des villages.
Quant au Directeur de Cabinet du Premier Ministre, Ahoutou Koffi Emmanuel, il a rappelé que le Gouvernement travaille pour le bien être des populations à travers plusieurs actions dont l’école obligatoire, la mise en œuvre d’un programme de construction d’établissements scolaires et le recrutement de nouveaux enseignants pour l’amélioration de l’éducation des enfants.
Élisée B.
« Nous avons sollicité une aide pour notre école. Après un constat fait en personne par le PCA de la banque (N’dia Georges NDLR), nous avons obtenu un financement de 10 millions sous forme de don qui a permis la reprise complète de la toiture, la peinture, la réhabilitation des logements des instituteurs, etc...pour un total de 14 millions dont 4 apportés par les cadres et les populations du village", a expliqué Christian Koffi, par ailleurs président du Comité de privatisation.
Aussi, dans le but de faire de leur établissement un établissement de référence, il a sollicité auprès de ses généreux donateurs et du Gouvernement un appui pour la construction d’un 5e logement de maître, d’une école maternelle et d’une cantine.
« Cette mission est une mission sociétale et pour l’environnement. Nous essayons d’aider dans le domaine culturel sanitaire et éducationnel », a indiqué N’dia Georges, Président du Conseil d’Administration de la SIB.
Dans son adresse, N’Dia Georges a invité les cadres et fils du village et de la région en général « à moins de disputes, à plus de cohésion et d’action concertées pour faire suivre l’exemple et pour un développement réel de leurs villages et régions ».
Poursuivant il a expliqué que « Dans un pays, celui qui commande c’est le politique et il constitue avec le secteur privé des locomotives. Dans cette approche nous avons le devoir de bien travailler et dire la vérité à nos patrons. Nous ne pouvons pas rester indifférents au développement communautaire. C’est simplement notre devoir ».
Aux élèves, le PCA de la SIB a conseillé la propreté afin de garantir l’avenir car dira-t-il, ’’la propreté n’est pas seulement physique mais aussi morale’’.
Députée de Sakassou, N’dia Marie-Ange s’est réjouie du don qui va ’’certainement améliorer les conditions de travail des élèves et des enseignants’’ avant de rappeler son combat pour le développement qui n’est pas du tout facile avec les besoins des populations en eau, électricité et infrastructures routières. « Même dans la discrétion, on travaille » a-t-elle ajoutée en réponse à certaines mauvaises langues.
La députée de Sakassou s’est donnée pour mission de réunir tous les fils et filles cadres des 172 villages de la région afin de contribuer efficacement au développement de l’ensemble des villages.
Quant au Directeur de Cabinet du Premier Ministre, Ahoutou Koffi Emmanuel, il a rappelé que le Gouvernement travaille pour le bien être des populations à travers plusieurs actions dont l’école obligatoire, la mise en œuvre d’un programme de construction d’établissements scolaires et le recrutement de nouveaux enseignants pour l’amélioration de l’éducation des enfants.
Élisée B.
