APA - Les risques africains en matière d’investissement, au centre d’un forum initié, mercredi, à Abidjan par l’Agence pour l’Assurance du Commerce en Afrique (ACA) ont une «solution», a estimé sur place dans la capitale économique ivoirienne, un expert.
A cette occasion, le Responsable des Pays Francophones membres de l’Agence, Attaty Kodjo, a rassuré les investisseurs, lors d’une table ronde, soulignant l’existence de solution adaptée à leurs inquiétudes face aux risques.
« En Afrique, il n’y a pas une institution qui a cette solution. Notre institution est née pour régler ce gap » a expliqué cet expert selon qui « il y’a une crainte par rapport à l’investissement direct en Afrique soutenu par les risques d’expropriation de guerre, les troubles civiles ».
« Quand il y’a une guerre, on peut saccager ces investissements .Il y’a risque comme le retrait unilatéral de la licence d’exploitation, la rupture unilatérale du contrat », a-t-il ajouté.
Pour le vice-président de la Banque africaine de développement (BAD) en charge du secteur privé, Pierre Guislain, dont l’institution est partenaire de cette agence, les gouvernements doivent repenser l’environnement des investissements.
« Il faut que les efforts se concrétisent, accroître la participation du secteur privé », a soutenu le Vice-président de l’institution financière.
L’ACA a été créée en 2001 par les Etats africains dans le but de couvrir les risques de crédit et d’investissement liés à la conduite des affaires en Afrique.
La 18ème Assemblée générale de l’ACA s’ouvre, jeudi, en présence des actionnaires de cette agence autour de « la performance et l’impact financier de l’ACA pour l’exercice ».
SY/ls/APA
A cette occasion, le Responsable des Pays Francophones membres de l’Agence, Attaty Kodjo, a rassuré les investisseurs, lors d’une table ronde, soulignant l’existence de solution adaptée à leurs inquiétudes face aux risques.
« En Afrique, il n’y a pas une institution qui a cette solution. Notre institution est née pour régler ce gap » a expliqué cet expert selon qui « il y’a une crainte par rapport à l’investissement direct en Afrique soutenu par les risques d’expropriation de guerre, les troubles civiles ».
« Quand il y’a une guerre, on peut saccager ces investissements .Il y’a risque comme le retrait unilatéral de la licence d’exploitation, la rupture unilatérale du contrat », a-t-il ajouté.
Pour le vice-président de la Banque africaine de développement (BAD) en charge du secteur privé, Pierre Guislain, dont l’institution est partenaire de cette agence, les gouvernements doivent repenser l’environnement des investissements.
« Il faut que les efforts se concrétisent, accroître la participation du secteur privé », a soutenu le Vice-président de l’institution financière.
L’ACA a été créée en 2001 par les Etats africains dans le but de couvrir les risques de crédit et d’investissement liés à la conduite des affaires en Afrique.
La 18ème Assemblée générale de l’ACA s’ouvre, jeudi, en présence des actionnaires de cette agence autour de « la performance et l’impact financier de l’ACA pour l’exercice ».
SY/ls/APA