Pour faire leur bilan médical général et bénéficier de soins de qualité, des ivoiriens, selon leur bourse, préfèrent des destinations européennes ou américaine. D’autres, par contre, s’offrent les services d’une couverture maladie par le biais de leur assurance.
Aujourd’hui, ces deux options sont à la portée du citoyen lambda ivoirien, grâce au partenariat qui a été signé entre l’Hôpital Américain de Paris (HAP) et une compagnie d’assurance de Côte d’Ivoire. Cette convention a été présentée officiellement ce mercredi 06 février, au cours d’un afterwork qui s’est déroulé à la Chambre de commerce et d’industrie.
Cette soirée d’échanges autour d’un pot a été animée par les deux représentants des parties signataires de ce partenariat, respectivement d’Olivier Bosc, Vice-président de l’HAP et Cissé Souleymane, DG de AMSA Assurances.
Le premier intervenant a souligné que ce partenariat a été motivé par l’important taux de patients en provenance chaque année de la Côte d’Ivoire pour leur prise en charge internationale. ‘’ C’est avec un total de 250 séjours de prise en charge médicale sur 3500 séjours étrangers, que la Côte d’Ivoire arrive en troisième position après les français et les américains’’, explique-t-il. Il a ajouté que ces patients ivoiriens comme étrangers y viennent pour des dépistages et traitements de grandes pathologies, cardio-vasculaires, cancer, gastroentérologie, orthopédique, traumatisme, …
Cette initiative de coopération médicale est aussi novatrice, selon le Dg de ASMA, Cissé Souleymane, parce qu’ offre l’opportunité à l’ivoirien lambda de planifier son bilan préventif de santé en France, depuis la Côte d’Ivoire où il réside. « Beaucoup d’ivoiriens y vont de leurs propres moyens pour faire leur bilan préventif. On peut le faire ici, mais ceux qui ont l’occasion de voyager qu’ils marquent une pause pour faire leur bilan préventif, ne serait-ce qu’une seule journée », a-t-il conseillé.
Par ailleurs, cette signature de partenariat n’est pas la seule, il y en a avec des institutions de santé privées, où des consultations sont prévues dans les jours à venir. Selon le Vice-président de l’HAP, cela permettrait également de développer une politique de téléconsultations avec des institutions locales de santé de Côte d’Ivoire.
JOB
Aujourd’hui, ces deux options sont à la portée du citoyen lambda ivoirien, grâce au partenariat qui a été signé entre l’Hôpital Américain de Paris (HAP) et une compagnie d’assurance de Côte d’Ivoire. Cette convention a été présentée officiellement ce mercredi 06 février, au cours d’un afterwork qui s’est déroulé à la Chambre de commerce et d’industrie.
Cette soirée d’échanges autour d’un pot a été animée par les deux représentants des parties signataires de ce partenariat, respectivement d’Olivier Bosc, Vice-président de l’HAP et Cissé Souleymane, DG de AMSA Assurances.
Le premier intervenant a souligné que ce partenariat a été motivé par l’important taux de patients en provenance chaque année de la Côte d’Ivoire pour leur prise en charge internationale. ‘’ C’est avec un total de 250 séjours de prise en charge médicale sur 3500 séjours étrangers, que la Côte d’Ivoire arrive en troisième position après les français et les américains’’, explique-t-il. Il a ajouté que ces patients ivoiriens comme étrangers y viennent pour des dépistages et traitements de grandes pathologies, cardio-vasculaires, cancer, gastroentérologie, orthopédique, traumatisme, …
Cette initiative de coopération médicale est aussi novatrice, selon le Dg de ASMA, Cissé Souleymane, parce qu’ offre l’opportunité à l’ivoirien lambda de planifier son bilan préventif de santé en France, depuis la Côte d’Ivoire où il réside. « Beaucoup d’ivoiriens y vont de leurs propres moyens pour faire leur bilan préventif. On peut le faire ici, mais ceux qui ont l’occasion de voyager qu’ils marquent une pause pour faire leur bilan préventif, ne serait-ce qu’une seule journée », a-t-il conseillé.
Par ailleurs, cette signature de partenariat n’est pas la seule, il y en a avec des institutions de santé privées, où des consultations sont prévues dans les jours à venir. Selon le Vice-président de l’HAP, cela permettrait également de développer une politique de téléconsultations avec des institutions locales de santé de Côte d’Ivoire.
JOB