Abidjan (Côte d’Ivoire) - L’Ambassadeur de l’Union européenne en Côte d’Ivoire, Jobst Von Kirchmann a soutenu, lundi à Abidjan, que les tous les leaders politiques ivoiriens sont intéressés «à créer une ambiance de paix et de stabilité» autour de la prochaine élection présidentielle de 2020.
Le diplomate européen s’est exprimé au terme d’un entretien avec l’ancien chef de l’Etat ivoirien, Henri Konan Bédié, également Président du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI).
« Ce que j’ai entendu (…) Tout le monde est intéressé de créer une ambiance de paix et de stabilité pour les élections de 2020.C'est exactement ce qu'on (Union européenne) veut », a-t-il indiqué.
Pour lui, cette visite s'inscrit dans le cadre dans sa « volonté de rencontrer toutes les parties, tous les leaders de différents partis politiques ». « C’était très important pour moi de connaître sa vision future du pays », a justifié l’Ambassadeur à propos de son entretien avec M. Bédié.
«On a parlé de la perspective de 2020, des élections, de la Commission électorale indépendante (CEI) et de comment garantir la paix, la stabilité dans la perspective de 2020 », a-t-il ajouté.
Selon M. Kirchmann, « l’Union européenne n’exige pas un format pour la Commission électorale. On est intéressé comme tous les acteurs politiques qu’il ait la paix et la stabilité dans le pays».
SY/ls
Le diplomate européen s’est exprimé au terme d’un entretien avec l’ancien chef de l’Etat ivoirien, Henri Konan Bédié, également Président du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI).
« Ce que j’ai entendu (…) Tout le monde est intéressé de créer une ambiance de paix et de stabilité pour les élections de 2020.C'est exactement ce qu'on (Union européenne) veut », a-t-il indiqué.
Pour lui, cette visite s'inscrit dans le cadre dans sa « volonté de rencontrer toutes les parties, tous les leaders de différents partis politiques ». « C’était très important pour moi de connaître sa vision future du pays », a justifié l’Ambassadeur à propos de son entretien avec M. Bédié.
«On a parlé de la perspective de 2020, des élections, de la Commission électorale indépendante (CEI) et de comment garantir la paix, la stabilité dans la perspective de 2020 », a-t-il ajouté.
Selon M. Kirchmann, « l’Union européenne n’exige pas un format pour la Commission électorale. On est intéressé comme tous les acteurs politiques qu’il ait la paix et la stabilité dans le pays».
SY/ls