La célébration du 73ème anniversaire de l’IRD (Institut de recherche pour le développement France) en Côte d’Ivoire, a eu lieu dans la soirée du vendredi 1er mars 2018, à la résidence de l’ambassadeur de France en Côte d’Ivoire, en présence de la ministre ivoirienne de la Solidarité, de la cohésion sociale et de la lutte contre la pauvreté, Mariétou Koné.
Au cours de cette soirée, le représentant de l’IRD en Côte d’Ivoire, Jean Marc Hougard, a dit que cette organisation pluridisciplinaire est présente en Côte d’Ivoire depuis 1946 avec une subvention de 100 000 euros/an. Ce sont des fonds alloués à la recherche obtenus par des chercheurs ivoiriens et français qui s’élèvent à hauteur de 8 millions euros. Dans son idéal à accompagner la recherche dans la santé humaine, l’IRD a permis l’élimination de beaucoup maladies. La notion de recherche pour le développement s’est transformée en développement durable et l’IRD est devenu un acteur essentiel dans la mise en œuvre des ODD.
Pour sa part, SEM de France en Côte d’Ivoire, M. Gilles Huberson a indiqué que l’IRD, c’est 160 missions de chercheurs, des cours d’encadrement d’étudiants ivoiriens pour le doctorat, une vingtaine de doctorants issus de l’IRD. C’est un exemple de relation fraternelle et inébranlable en Côte d’Ivoire. ‘’L’IRD, ce sont des recherches sur la santé, l’eau, science, politique’’. A sa suite, la ministre Mariétou Koné a exprimé, au nom du Gouvernement, sa gratitude à l’IRD pour le soutien au développement de la recherche en Côte d’Ivoire. Elle s’est réjouie d’avoir été conviée à cet anniversaire car elle est ‘’un pur produit’’ de l’IRD. Elle a souhaité que l’IRD continue sur cette lancée.
Cette célébration des 75 ans de l’Institut dans le monde et 73 ans en Côte d’Ivoire, a débuté par la tenue de deux conférences publiques sur : « L’odyssée des plantes sauvages et cultivées » et l’autre sur « les perspectives d’élimination de la maladie du sommeil », dans la matinée à l’Institut Français d’Abidjan au Plateau.
Les recherches actuellement menées par les scientifiques de l’IRD, en partenariat avec leurs homologues ivoiriens, ont été également mises à l’honneur grâce à des supports visuels. Acteur français majeur de l’agenda international pour le développement, l’IRD entretient un partenariat scientifique équitable avec les pays en développement et en voie d’émergence, notamment en Afrique subsaharienne et en particulier en Côte d’Ivoire où il est présent, de manière ininterrompue, depuis 1946.
Ce partenariat se manifeste dans la quasi-totalité des domaines de recherche abordés par l’Institut, en pratiquant l’interdisciplinarité, en contribuant à la résolution des problèmes majeurs rencontrés par les pays en développement, et en associant les populations, notamment les plus vulnérables, aux programmes de recherche pour le développement.
D’exceptionnelles relations scientifiques entretenues avec ses partenaires ivoiriens, qui se traduisent actuellement par la présence d’une quinzaine de chercheurs basés dans les laboratoires des universités, grandes écoles et établissements de recherche d’Abidjan et de Bouaké.
Rappelons que L’Institut de recherche pour le développement concentre ses recherches sur quatre priorités scientifiques qui correspondent à des enjeux majeurs tant au niveau global que local : climat (variabilité, risques, modélisation, interactions océan-atmosphère), populations et sociétés (le politique et le religieux, l’économie, la résilience des populations, la démographie), santé (les maladies à vecteurs, les sciences sociales appliquées à la santé) et environnement et ressources (ressources en eaux, ressources marines, ressources végétales, amélioration des plantes).
JOB
Au cours de cette soirée, le représentant de l’IRD en Côte d’Ivoire, Jean Marc Hougard, a dit que cette organisation pluridisciplinaire est présente en Côte d’Ivoire depuis 1946 avec une subvention de 100 000 euros/an. Ce sont des fonds alloués à la recherche obtenus par des chercheurs ivoiriens et français qui s’élèvent à hauteur de 8 millions euros. Dans son idéal à accompagner la recherche dans la santé humaine, l’IRD a permis l’élimination de beaucoup maladies. La notion de recherche pour le développement s’est transformée en développement durable et l’IRD est devenu un acteur essentiel dans la mise en œuvre des ODD.
Pour sa part, SEM de France en Côte d’Ivoire, M. Gilles Huberson a indiqué que l’IRD, c’est 160 missions de chercheurs, des cours d’encadrement d’étudiants ivoiriens pour le doctorat, une vingtaine de doctorants issus de l’IRD. C’est un exemple de relation fraternelle et inébranlable en Côte d’Ivoire. ‘’L’IRD, ce sont des recherches sur la santé, l’eau, science, politique’’. A sa suite, la ministre Mariétou Koné a exprimé, au nom du Gouvernement, sa gratitude à l’IRD pour le soutien au développement de la recherche en Côte d’Ivoire. Elle s’est réjouie d’avoir été conviée à cet anniversaire car elle est ‘’un pur produit’’ de l’IRD. Elle a souhaité que l’IRD continue sur cette lancée.
Cette célébration des 75 ans de l’Institut dans le monde et 73 ans en Côte d’Ivoire, a débuté par la tenue de deux conférences publiques sur : « L’odyssée des plantes sauvages et cultivées » et l’autre sur « les perspectives d’élimination de la maladie du sommeil », dans la matinée à l’Institut Français d’Abidjan au Plateau.
Les recherches actuellement menées par les scientifiques de l’IRD, en partenariat avec leurs homologues ivoiriens, ont été également mises à l’honneur grâce à des supports visuels. Acteur français majeur de l’agenda international pour le développement, l’IRD entretient un partenariat scientifique équitable avec les pays en développement et en voie d’émergence, notamment en Afrique subsaharienne et en particulier en Côte d’Ivoire où il est présent, de manière ininterrompue, depuis 1946.
Ce partenariat se manifeste dans la quasi-totalité des domaines de recherche abordés par l’Institut, en pratiquant l’interdisciplinarité, en contribuant à la résolution des problèmes majeurs rencontrés par les pays en développement, et en associant les populations, notamment les plus vulnérables, aux programmes de recherche pour le développement.
D’exceptionnelles relations scientifiques entretenues avec ses partenaires ivoiriens, qui se traduisent actuellement par la présence d’une quinzaine de chercheurs basés dans les laboratoires des universités, grandes écoles et établissements de recherche d’Abidjan et de Bouaké.
Rappelons que L’Institut de recherche pour le développement concentre ses recherches sur quatre priorités scientifiques qui correspondent à des enjeux majeurs tant au niveau global que local : climat (variabilité, risques, modélisation, interactions océan-atmosphère), populations et sociétés (le politique et le religieux, l’économie, la résilience des populations, la démographie), santé (les maladies à vecteurs, les sciences sociales appliquées à la santé) et environnement et ressources (ressources en eaux, ressources marines, ressources végétales, amélioration des plantes).
JOB