La Commissaire générale du Salon africain des assurances, Valerie Kouamé, a lancé, vendredi à l’hôtel du district d’Abidjan, la troisième édition de ce salon consacré, cette année, au thème de « La digitalisation de l’assurance au profit de la population ».
Dans un monde de plus en plus connecté où la digitalisation devient la norme, « nous, acteurs du monde des assurances, n’avons plus le choix : nous digitaliser ou disparaître », a affirmé Mme Kouamé en présence du conseiller technique, Kouamé Armand, représentant le ministre de l’Economie et des Finances.
Au croisement des dimensions économiques et sociétales le digital est « un levier particulièrement puissant et partagé » qui doit permettre « d’appréhender les enjeux relatifs au développement de l’entreprise d’aujourd’hui et de demain tout en répondant aux besoins des populations à tous les niveaux », a-t-elle argumenté.
Prévue pour les 19 et 20 septembre, cette troisième édition sera consacrée à des communications sur les notions de base pour réussir la transition des compagnies d’assurance traditionnelle vers le digital « en alliant théorie et pratique pour la compréhension des défis et des opportunités qui découlent de cette tendance », a-t-elle indiqué.
L'Association des sociétés d'assurances de Côte d'Ivoire (ASA-CI) soutient cette initiative qui vise à briser les murs de méfiance entre les populations et les compagnies d’assurance, a assuré son secrétaire général, Diallo Daniel.
« Courageuse et battante », la promotrice du SADA, Valerie Kouamé, fait la promotion de l’assurance auprès de ceux qui ne connaissent pas l’assurance, un instrument créé au bénéfice « de ceux qui n’ont pas les moyens et non des riches », a-t-il dit.
La Côte d’Ivoire enregistre un taux de pénétration de 2% d’assurés, un chiffre que les organisateurs du SADA entendent porter à 19% à court terme à travers la sensibilisation des populations.
(AIP)
aaa/ask
Dans un monde de plus en plus connecté où la digitalisation devient la norme, « nous, acteurs du monde des assurances, n’avons plus le choix : nous digitaliser ou disparaître », a affirmé Mme Kouamé en présence du conseiller technique, Kouamé Armand, représentant le ministre de l’Economie et des Finances.
Au croisement des dimensions économiques et sociétales le digital est « un levier particulièrement puissant et partagé » qui doit permettre « d’appréhender les enjeux relatifs au développement de l’entreprise d’aujourd’hui et de demain tout en répondant aux besoins des populations à tous les niveaux », a-t-elle argumenté.
Prévue pour les 19 et 20 septembre, cette troisième édition sera consacrée à des communications sur les notions de base pour réussir la transition des compagnies d’assurance traditionnelle vers le digital « en alliant théorie et pratique pour la compréhension des défis et des opportunités qui découlent de cette tendance », a-t-elle indiqué.
L'Association des sociétés d'assurances de Côte d'Ivoire (ASA-CI) soutient cette initiative qui vise à briser les murs de méfiance entre les populations et les compagnies d’assurance, a assuré son secrétaire général, Diallo Daniel.
« Courageuse et battante », la promotrice du SADA, Valerie Kouamé, fait la promotion de l’assurance auprès de ceux qui ne connaissent pas l’assurance, un instrument créé au bénéfice « de ceux qui n’ont pas les moyens et non des riches », a-t-il dit.
La Côte d’Ivoire enregistre un taux de pénétration de 2% d’assurés, un chiffre que les organisateurs du SADA entendent porter à 19% à court terme à travers la sensibilisation des populations.
(AIP)
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