Abidjan-L’atelier d’information et de renforcement du cadre de collaboration des parties prenantes de l’aquaculture en Côte d’Ivoire (administrations, la recherche, les partenaires au développement, etc) qui s’est tenu du 18 au 20 février a permis de tracer la voie de développement de ce secteur d’activité.
Ce cadre d’échanges visait à renforcer les synergies d’actions et de collaboration des parties prenantes pour le développement de l’aquaculture, à améliorer la collaboration entre la direction nationale en charge de l’aquaculture et les parties prenantes, à renforcer la participation et de l’intégration du secteur privé, à mettre en réseau les professionnels et rechercher des perspectives pour le développement de la filière.
En vue d’atteindre les résultats escomptés, les participants appellent à mettre en place une plateforme de concertation sur les besoins prioritaires de développement aquacole à financer, défiscaliser les matériels et intrants de production aquacole, de créer des réserves foncières aménagées pour l’aquaculture, d’Œuvrer pour que l’aquaculture soit déclarée priorité nationale du fait de son impact positif sur le programme social du gouvernement (création d’emplois, la réduction de la pauvreté, l’autonomisation des femmes, la sécurité alimentaire quantitative et qualitative en matière de protéines, etc.).
La Côte d’Ivoire importe plus de 300.000 tonnes de poisson pour son alimentation. L’augmentation de la production aquacole permettra de relever le niveau de contribution de l’aquaculture à la fourniture de poissons de consommation, la création de nouvelles opportunités d’emplois rémunérateurs et la croissance économique (amélioration de la balance commerciales du sous-secteur à travers la diminution des produits importés).
La pisciculture qui représente plus de 6.000 emplois directs et plus 8000 emplois indirects a une contribution globale d’environ 9% de la production globale de poisson et participe de façon substantielle à la réalisation en Côte d’Ivoire de la sécurité alimentaire des communautés rurales et urbaines du pays.
bsp/ask
Ce cadre d’échanges visait à renforcer les synergies d’actions et de collaboration des parties prenantes pour le développement de l’aquaculture, à améliorer la collaboration entre la direction nationale en charge de l’aquaculture et les parties prenantes, à renforcer la participation et de l’intégration du secteur privé, à mettre en réseau les professionnels et rechercher des perspectives pour le développement de la filière.
En vue d’atteindre les résultats escomptés, les participants appellent à mettre en place une plateforme de concertation sur les besoins prioritaires de développement aquacole à financer, défiscaliser les matériels et intrants de production aquacole, de créer des réserves foncières aménagées pour l’aquaculture, d’Œuvrer pour que l’aquaculture soit déclarée priorité nationale du fait de son impact positif sur le programme social du gouvernement (création d’emplois, la réduction de la pauvreté, l’autonomisation des femmes, la sécurité alimentaire quantitative et qualitative en matière de protéines, etc.).
La Côte d’Ivoire importe plus de 300.000 tonnes de poisson pour son alimentation. L’augmentation de la production aquacole permettra de relever le niveau de contribution de l’aquaculture à la fourniture de poissons de consommation, la création de nouvelles opportunités d’emplois rémunérateurs et la croissance économique (amélioration de la balance commerciales du sous-secteur à travers la diminution des produits importés).
La pisciculture qui représente plus de 6.000 emplois directs et plus 8000 emplois indirects a une contribution globale d’environ 9% de la production globale de poisson et participe de façon substantielle à la réalisation en Côte d’Ivoire de la sécurité alimentaire des communautés rurales et urbaines du pays.
bsp/ask