Abidjan– La représentante de l’initiative du cajou compétitif (GIZ/Comcashew), Mary Adzanyo a invité, lundi, à Abidjan, les pays africains producteurs de noix de cajou à partager leurs expériences pour le développement de la filière.
« En travaillant ensemble pour réguler le secteur mutuellement, le secteur du cajou deviendra plus compétitif et plus rentable », a souligné Mary Adzanyo à l’ouverture de la 10è édition du programme de formation des maîtres formateurs pour la promotion de la chaîne de valeur du cajou africain.
Pour la représentante de Comcashew, les pays africains producteurs de cajou sont confrontés à un faible taux de transformation locale (seulement 10% de la production transformés localement) et surtout à l’organisation de la filière.
Elle a surtout félicité la Côte d’Ivoire pour son engagement à accroître la compétitivité de la filière.
Ce sont 96 participants venus de huit pays à savoir l’Allemagne, le Bénin, le Burkina Faso, la Côte d’Ivoire, le Ghana, le Mali, le Togo et la Sierra Leone qui prennent part à cette première session qui s’achève, vendredi. Elle porte sur le concept de chaîne de valeur des noix de cajou, la dynamique du marché des noix de cajou et le développement de matériel de formation.
Le programme des maîtres formateurs est organisé par l’’initiative du cajou compétitif (GIZ/Comcashew) en collaboration avec l’alliance du cajou africain et le Conseil coton anarcade de la Côte d’Ivoire. Il dure sept mois et se déroule en trois sessions dans deux pays, le Ghana et la Côte d’Ivoire.
kkf/ask
« En travaillant ensemble pour réguler le secteur mutuellement, le secteur du cajou deviendra plus compétitif et plus rentable », a souligné Mary Adzanyo à l’ouverture de la 10è édition du programme de formation des maîtres formateurs pour la promotion de la chaîne de valeur du cajou africain.
Pour la représentante de Comcashew, les pays africains producteurs de cajou sont confrontés à un faible taux de transformation locale (seulement 10% de la production transformés localement) et surtout à l’organisation de la filière.
Elle a surtout félicité la Côte d’Ivoire pour son engagement à accroître la compétitivité de la filière.
Ce sont 96 participants venus de huit pays à savoir l’Allemagne, le Bénin, le Burkina Faso, la Côte d’Ivoire, le Ghana, le Mali, le Togo et la Sierra Leone qui prennent part à cette première session qui s’achève, vendredi. Elle porte sur le concept de chaîne de valeur des noix de cajou, la dynamique du marché des noix de cajou et le développement de matériel de formation.
Le programme des maîtres formateurs est organisé par l’’initiative du cajou compétitif (GIZ/Comcashew) en collaboration avec l’alliance du cajou africain et le Conseil coton anarcade de la Côte d’Ivoire. Il dure sept mois et se déroule en trois sessions dans deux pays, le Ghana et la Côte d’Ivoire.
kkf/ask