Yamoussoukro, Des boulangers et pâtissiers de plusieurs pays de la sous-région ouest africaine notamment le Ghana, le Sénégal, la Côte d’Ivoire et le Togo ont signé, lundi, à Yamoussoukro un protocole d’accord portant sur la création prochaine d’une confédération visant à unir leurs forces pour la bonne marches de leurs activités communes.
Selon le porte-parole des délégations, Gueye Amadou « notre premier objectif sera la formation de tous ces jeunes qui embrassent le métier et faire en sorte que des mécanismes existent pour qu’ils aient des financements pour avoir leurs boulangeries ».
Conscients que les problèmes sont les mêmes d’un pays à un autre, les boulangers pâtissiers ont convenu d’harmoniser leurs textes afin que les normes pour une baguette de pain par exemple soient les mêmes dans la sous-région tout en se promettant d’ouvrir un dialogue avec les pouvoirs publics sur « les questions essentielles » comme celle du prix de la farine.
« On ne peut pas augmenter le prix de la farine et nous empêcher d’augmenter le prix de la baguette de pain au motif que le pain est un produit social », a souligné Gueye Amadou.
C’est la cérémonie d’investiture de la fédération interprofessionnelle des patrons artisans boulangers et pâtissiers de Côte d’Ivoire (FIPABPCI) présidée par M. Abe Marius qui a donné le prétexte à la signature de ce protocole.
« Nous sommes convaincus que l’équilibre de notre société réside dans la bonne santé de notre corps de métier. C’est pourquoi la mise en place de cette fédération s’impose à nous afin que l’artisan pâtissier fasse plus envie que pitié », a affirmé le président qui s’est fixé pour mission de trouver des solutions « au quotidien difficile » de ses membres.
La cérémonie a enregistré le parrainage du ministre de l’Artisanat dont le représentant M. Mamadou Sérifou a traduit les félicitations et les encouragements du ministre Konaté Sidiki avant d’annoncer une vaste opération d’identification des artisans.
(AIP)
gso/ask
Selon le porte-parole des délégations, Gueye Amadou « notre premier objectif sera la formation de tous ces jeunes qui embrassent le métier et faire en sorte que des mécanismes existent pour qu’ils aient des financements pour avoir leurs boulangeries ».
Conscients que les problèmes sont les mêmes d’un pays à un autre, les boulangers pâtissiers ont convenu d’harmoniser leurs textes afin que les normes pour une baguette de pain par exemple soient les mêmes dans la sous-région tout en se promettant d’ouvrir un dialogue avec les pouvoirs publics sur « les questions essentielles » comme celle du prix de la farine.
« On ne peut pas augmenter le prix de la farine et nous empêcher d’augmenter le prix de la baguette de pain au motif que le pain est un produit social », a souligné Gueye Amadou.
C’est la cérémonie d’investiture de la fédération interprofessionnelle des patrons artisans boulangers et pâtissiers de Côte d’Ivoire (FIPABPCI) présidée par M. Abe Marius qui a donné le prétexte à la signature de ce protocole.
« Nous sommes convaincus que l’équilibre de notre société réside dans la bonne santé de notre corps de métier. C’est pourquoi la mise en place de cette fédération s’impose à nous afin que l’artisan pâtissier fasse plus envie que pitié », a affirmé le président qui s’est fixé pour mission de trouver des solutions « au quotidien difficile » de ses membres.
La cérémonie a enregistré le parrainage du ministre de l’Artisanat dont le représentant M. Mamadou Sérifou a traduit les félicitations et les encouragements du ministre Konaté Sidiki avant d’annoncer une vaste opération d’identification des artisans.
(AIP)
gso/ask