Abidjan -La Banque africaine de développement dément apporter un soutien financier à un projet d’oléoduc en Afrique de l’Est.
Dans un communiqué de presse transmis, lundi, à l'AIP, la Banque africaine de développement réfute catégoriquement les allégations de soutien financier à un projet d’oléoduc en Afrique de l’Est. Le Fonds de préparation des projets d’infrastructures (IPPF) du NEPAD n’a fourni de financement à aucune société du secteur privé pour des projets d’oléoduc ou de gazoduc en Afrique de l’Est, a indiqué, l'institution financière, précisant qu'une telle allégation est erronée.
Selon le texte, aucun engagement n’a donc été pris envers quelque partie que ce soit pour le financement du projet d’oléoduc de pétrole brut en Afrique de l’Est, donc ce projet ne figure pas dans le programme de prêts de la Banque qui est fermement engagée dans la promotion des énergies renouvelables pendant plus d’une décennie avec un rôle de premier plan dans la formulation de politiques de développement durable et des investissements qui favorisent les bonnes pratiques sur le continent, notamment en matière d’adaptation au climat et de résilience.
La Banque dit être engagée, dans ses domaines prioritaires d’activité, à promouvoir la transition vers un développement à faible teneur en carbone et à un développement résilient au changement climatique dans les pays africains.
Par ailleurs, elle précise que ces engagements sont énoncés dans un ensemble de stratégies, de politiques et de plans d’action concernant toutes les opérations de l'institution qui peuvent être publiquement consultés. En effet, en 2019, environ 36 % de l’ensemble des dossiers ayant fait l’objet d’agréments financiers ont été consacrés à l’action climatique et la Banque africaine de développement s’est engagée à doubler son financement en faveur du climat, pour le porter à 25 milliards de dollars entre 2020 et 2025.
De plus, la BAD est en train de s’associer aux autres banques de développement multilatérales pour mettre en place un cadre garantissant que tous ses investissements sont en cohérence avec les objectifs de l’Accord de Paris (100 % de projets d’énergies renouvelables, et activités agricoles et infrastructures durables, à faible niveau d’émission).
Elle a donné la priorité aux investissements dans les énergies renouvelables et n’a investi dans aucun projet de charbon au cours de la dernière décennie, car elle considère que les énergies renouvelables représentent l’avenir.
C'est pourquoi, elle continuera à collaborer avec ses actionnaires, ses clients et les organisations de la société civile, en veillant au respect des normes les plus élevées. L’institution reste focalisée sur sa mission de base, qui consiste à aider des millions de personnes à sortir de la pauvreté, en utilisant les ressources qui lui sont confiées de façon responsable et efficace.
ebd/ask
Dans un communiqué de presse transmis, lundi, à l'AIP, la Banque africaine de développement réfute catégoriquement les allégations de soutien financier à un projet d’oléoduc en Afrique de l’Est. Le Fonds de préparation des projets d’infrastructures (IPPF) du NEPAD n’a fourni de financement à aucune société du secteur privé pour des projets d’oléoduc ou de gazoduc en Afrique de l’Est, a indiqué, l'institution financière, précisant qu'une telle allégation est erronée.
Selon le texte, aucun engagement n’a donc été pris envers quelque partie que ce soit pour le financement du projet d’oléoduc de pétrole brut en Afrique de l’Est, donc ce projet ne figure pas dans le programme de prêts de la Banque qui est fermement engagée dans la promotion des énergies renouvelables pendant plus d’une décennie avec un rôle de premier plan dans la formulation de politiques de développement durable et des investissements qui favorisent les bonnes pratiques sur le continent, notamment en matière d’adaptation au climat et de résilience.
La Banque dit être engagée, dans ses domaines prioritaires d’activité, à promouvoir la transition vers un développement à faible teneur en carbone et à un développement résilient au changement climatique dans les pays africains.
Par ailleurs, elle précise que ces engagements sont énoncés dans un ensemble de stratégies, de politiques et de plans d’action concernant toutes les opérations de l'institution qui peuvent être publiquement consultés. En effet, en 2019, environ 36 % de l’ensemble des dossiers ayant fait l’objet d’agréments financiers ont été consacrés à l’action climatique et la Banque africaine de développement s’est engagée à doubler son financement en faveur du climat, pour le porter à 25 milliards de dollars entre 2020 et 2025.
De plus, la BAD est en train de s’associer aux autres banques de développement multilatérales pour mettre en place un cadre garantissant que tous ses investissements sont en cohérence avec les objectifs de l’Accord de Paris (100 % de projets d’énergies renouvelables, et activités agricoles et infrastructures durables, à faible niveau d’émission).
Elle a donné la priorité aux investissements dans les énergies renouvelables et n’a investi dans aucun projet de charbon au cours de la dernière décennie, car elle considère que les énergies renouvelables représentent l’avenir.
C'est pourquoi, elle continuera à collaborer avec ses actionnaires, ses clients et les organisations de la société civile, en veillant au respect des normes les plus élevées. L’institution reste focalisée sur sa mission de base, qui consiste à aider des millions de personnes à sortir de la pauvreté, en utilisant les ressources qui lui sont confiées de façon responsable et efficace.
ebd/ask