Le nouvel ambassadeur de Côte d’Ivoire près la République de France et la principauté de Monaco, Maurice Kouakou Bandaman, a pris fonction lundi en remplacement de Charles Gomis, admis à la retraite et élu sénateur, annonce un communiqué transmis mardi à l’AIP.
« Je suis fier et heureux. Je veux compter sur vous pour réussir la mission que le Président nous a confiée », a déclaré l’ancien ministre de la Culture et de la Francophonie, lors de la passation de charge marquant sa prise de fonction officielle.
Maurice Kouakou Bandaman a salué son prédécesseur pour le travail accompli. Il a remercié l’ambassadeur de France en Côte d’Ivoire et le Consul de France à Abidjan, sans la dérogation desquels il n’aurait pas pu prendre l’avion qui l’a transporté, vendredi, d’Abidjan à Paris.
En prélude à l’élection présidentielle d’octobre, le nouvel ambassadeur a annoncé une opération d’enrôlement, samedi. « Je vous engage à participer massivement au processus d’enrôlement », a-t-il recommandé au personnel de l’ambassade et aux Ivoiriens résidant en France. « Nous aurons l’occasion de revenir sur ces sujets qui touchent plus particulièrement notre diaspora, dans les semaines qui viennent », a-t-il promis, en outre.
« Nous avons du pain sur la planche pour poursuivre le travail de nos prédécesseurs et peut-être donner quelques impulsions nouvelles pour que rayonne davantage encore notre beau pays. Le fondateur de la nation, le président Felix Houphouët-Boigny, n’avait, en politique étrangère, qu’un seul objectif, le prestige de la Côte d’Ivoire. Ce prestige, le président Ouattara le lui a rendu. La voix de la Côte d’Ivoire, en Afrique comme à l’ONU ou en Europe, compte à nouveau dans le concert des nations », a-t-il affirmé.
Maurice Kouakou Bandaman a été nommé, 4 mars, ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la Côte d’Ivoire en France.
Enseignant de Lettres modernes, il est écrivain. En politique, il est l’une des figures du Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP, coalition au pouvoir) et était député de Taabo, dans la région de l’Agneby-Tiassa.
(AIP)
aaa/cmas
« Je suis fier et heureux. Je veux compter sur vous pour réussir la mission que le Président nous a confiée », a déclaré l’ancien ministre de la Culture et de la Francophonie, lors de la passation de charge marquant sa prise de fonction officielle.
Maurice Kouakou Bandaman a salué son prédécesseur pour le travail accompli. Il a remercié l’ambassadeur de France en Côte d’Ivoire et le Consul de France à Abidjan, sans la dérogation desquels il n’aurait pas pu prendre l’avion qui l’a transporté, vendredi, d’Abidjan à Paris.
En prélude à l’élection présidentielle d’octobre, le nouvel ambassadeur a annoncé une opération d’enrôlement, samedi. « Je vous engage à participer massivement au processus d’enrôlement », a-t-il recommandé au personnel de l’ambassade et aux Ivoiriens résidant en France. « Nous aurons l’occasion de revenir sur ces sujets qui touchent plus particulièrement notre diaspora, dans les semaines qui viennent », a-t-il promis, en outre.
« Nous avons du pain sur la planche pour poursuivre le travail de nos prédécesseurs et peut-être donner quelques impulsions nouvelles pour que rayonne davantage encore notre beau pays. Le fondateur de la nation, le président Felix Houphouët-Boigny, n’avait, en politique étrangère, qu’un seul objectif, le prestige de la Côte d’Ivoire. Ce prestige, le président Ouattara le lui a rendu. La voix de la Côte d’Ivoire, en Afrique comme à l’ONU ou en Europe, compte à nouveau dans le concert des nations », a-t-il affirmé.
Maurice Kouakou Bandaman a été nommé, 4 mars, ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la Côte d’Ivoire en France.
Enseignant de Lettres modernes, il est écrivain. En politique, il est l’une des figures du Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP, coalition au pouvoir) et était député de Taabo, dans la région de l’Agneby-Tiassa.
(AIP)
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