Abidjan- Les États-Unis envisagent d'imposer des droits de douane sur des marchandises importées de pays européens, qui représentaient une valeur de 3,1 milliards de dollars soit 2,74 milliards d'euros en 2018, rapporte l’agence de presse russe Sputnik.
Selon une note des services du représentant américain au Commerce, cette mesure la troisième du genre vise essentiellement la France, le Royaume-Uni, l'Allemagne et l'Espagne, et concerne les produits alimentaires que sont le chocolat, les olives, le café, la bière, l’alcool, des équipements industriels et des camions.
Ces droits de douane américains qui peuvent monter jusqu'à 25%, sont déjà appliqués sur un large éventail de produits européens, dont des fruits et fromages, la charcuterie et diverses catégories de vêtements y compris des avions et composants aéronautiques.
Pour l’heure, les services du représentant américain au Commerce vont ouvrir une période de consultation publique allant jusqu'au 26 juillet afin de discuter la composition de ces listes et le niveau des droits de douane appliqués aux divers produits. Il n’est pas exclu que certaines marchandises qui figurent dans la première liste puissent en sortir et ne plus être taxées.
eaa/kam
Selon une note des services du représentant américain au Commerce, cette mesure la troisième du genre vise essentiellement la France, le Royaume-Uni, l'Allemagne et l'Espagne, et concerne les produits alimentaires que sont le chocolat, les olives, le café, la bière, l’alcool, des équipements industriels et des camions.
Ces droits de douane américains qui peuvent monter jusqu'à 25%, sont déjà appliqués sur un large éventail de produits européens, dont des fruits et fromages, la charcuterie et diverses catégories de vêtements y compris des avions et composants aéronautiques.
Pour l’heure, les services du représentant américain au Commerce vont ouvrir une période de consultation publique allant jusqu'au 26 juillet afin de discuter la composition de ces listes et le niveau des droits de douane appliqués aux divers produits. Il n’est pas exclu que certaines marchandises qui figurent dans la première liste puissent en sortir et ne plus être taxées.
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