Le ministre en charge du Budget et du Portefeuille de l’État, Moussa Sanogo était face aux députés de la Commission des affaires économiques et financières (Caef) dans le cadre d’un débat d’orientation budgétaire, mardi 30 juin 2020, à l’Assemblée nationale, à Abidjan-Plateau. Il a présenté, à cette occasion, le Document de programmation budgétaire et économique pluriannuelle (Dpbep) 2021-2023.
Moussa Sanogo a affirmé qu’il s’agit d’un document qui décrit la trajectoire de l’économie nationale sur les trois années à venir et qui précise aussi la programmation budgétaire qui va accompagner la création de richesses au niveau national. « C’est bon de partager les différentes orientations avec les députés, recueillir également leurs observations et travailler à élaborer un budget qui puisse satisfaire les besoins de nos populations », a justifié le ministre.
Il a dévoilé les priorités du Gouvernement relativement aux dépenses du budget de l’État, notamment dans les secteurs de l’enseignement, la santé, ainsi que les logements et équipements collectifs. Ainsi, au titre de l’enseignement, Moussa Sanogo a informé que les crédits alloués passeront de 1 427,2 milliards Fcfa en 2021 à 1 653,7 milliards Fcfa en 2023 et que les efforts s’inscriront dans la vision du Gouvernement d’accroître l’accès des populations, notamment les plus vulnérables, à une éducation de qualité. Concernant la santé dont les crédits affectés évolueront de 366,2 milliards Fcfa à 396,6 milliards Fcfa de 2021 à 2023, Moussa Sanogo a mentionné que l’intervention de l’État visera à améliorer l’offre et la qualité des services de santé, à renforcer la lutte contre la maladie et à améliorer la santé maternelle et infanto-juvenile. « S’agissant des logements et équipements collectifs dont les crédits budgétaires destinés passeront de 1 205,3 milliards Fcfa en 2021 à 1 330,1 milliards Fcfa en 2023, les interventions de l’État se poursuivront dans les domaines du transport et du développement des infrastructures énergétiques », a indiqué le ministre.
En clair, Moussa Sanogo a souligné que s’agissant des axes prioritaires du Gouvernement ivoirien, il s’agira de renforcer la prise en charge de toutes les questions liées à l’enseignement, à la santé, aux équipements collectifs et aux différentes infrastructures. « Ce sont des choses que nous allons poursuivre les années à venir pour consolider la compétitivité de notre économie », a insisté le ministre. Il a confié, par ailleurs, que l’atteinte des objectifs économiques et financiers sur la période 2021-2023 nécessite la mise en œuvre de réformes et mesures spécifiques d’amélioration de la gestion des finances publiques. Ainsi, au titre de la fiscalité intérieure, le ministre a évoqué des réformes visant la poursuite de la rationalisation des méthodes de travail. Pour ce qui concerne la fiscalité de porte, les principales mesures, de l’avis du ministre, portent sur le renforcement de la surveillance du transit douanier, le renforcement de la lutte contre la fraude et la poursuite de l’équipement des bureaux frontières. « Au titre des dépenses publiques, les principales actions concernent la poursuite de la mise en œuvre de la stratégie de gestion de la dette publique, l’actualisation de la stratégie de maîtrise de la masse salariale et la poursuite des efforts de réduction des délais de passation des marchés publics, ainsi que la poursuite de l’analyse et de la communication sur les risques budgétaires », a noté le ministre Moussa Sanogo.
Le projet de budget de l’État pour l’année 2021 s’établirait à 8 629,1 milliards Fcfa et devrait s’accroître pour atteindre 9 129,8 milliards Fcfa en 2022 et 9 916,3 milliards Fcfa en 2023.
Moussa Sanogo a affirmé qu’il s’agit d’un document qui décrit la trajectoire de l’économie nationale sur les trois années à venir et qui précise aussi la programmation budgétaire qui va accompagner la création de richesses au niveau national. « C’est bon de partager les différentes orientations avec les députés, recueillir également leurs observations et travailler à élaborer un budget qui puisse satisfaire les besoins de nos populations », a justifié le ministre.
Il a dévoilé les priorités du Gouvernement relativement aux dépenses du budget de l’État, notamment dans les secteurs de l’enseignement, la santé, ainsi que les logements et équipements collectifs. Ainsi, au titre de l’enseignement, Moussa Sanogo a informé que les crédits alloués passeront de 1 427,2 milliards Fcfa en 2021 à 1 653,7 milliards Fcfa en 2023 et que les efforts s’inscriront dans la vision du Gouvernement d’accroître l’accès des populations, notamment les plus vulnérables, à une éducation de qualité. Concernant la santé dont les crédits affectés évolueront de 366,2 milliards Fcfa à 396,6 milliards Fcfa de 2021 à 2023, Moussa Sanogo a mentionné que l’intervention de l’État visera à améliorer l’offre et la qualité des services de santé, à renforcer la lutte contre la maladie et à améliorer la santé maternelle et infanto-juvenile. « S’agissant des logements et équipements collectifs dont les crédits budgétaires destinés passeront de 1 205,3 milliards Fcfa en 2021 à 1 330,1 milliards Fcfa en 2023, les interventions de l’État se poursuivront dans les domaines du transport et du développement des infrastructures énergétiques », a indiqué le ministre.
En clair, Moussa Sanogo a souligné que s’agissant des axes prioritaires du Gouvernement ivoirien, il s’agira de renforcer la prise en charge de toutes les questions liées à l’enseignement, à la santé, aux équipements collectifs et aux différentes infrastructures. « Ce sont des choses que nous allons poursuivre les années à venir pour consolider la compétitivité de notre économie », a insisté le ministre. Il a confié, par ailleurs, que l’atteinte des objectifs économiques et financiers sur la période 2021-2023 nécessite la mise en œuvre de réformes et mesures spécifiques d’amélioration de la gestion des finances publiques. Ainsi, au titre de la fiscalité intérieure, le ministre a évoqué des réformes visant la poursuite de la rationalisation des méthodes de travail. Pour ce qui concerne la fiscalité de porte, les principales mesures, de l’avis du ministre, portent sur le renforcement de la surveillance du transit douanier, le renforcement de la lutte contre la fraude et la poursuite de l’équipement des bureaux frontières. « Au titre des dépenses publiques, les principales actions concernent la poursuite de la mise en œuvre de la stratégie de gestion de la dette publique, l’actualisation de la stratégie de maîtrise de la masse salariale et la poursuite des efforts de réduction des délais de passation des marchés publics, ainsi que la poursuite de l’analyse et de la communication sur les risques budgétaires », a noté le ministre Moussa Sanogo.
Le projet de budget de l’État pour l’année 2021 s’établirait à 8 629,1 milliards Fcfa et devrait s’accroître pour atteindre 9 129,8 milliards Fcfa en 2022 et 9 916,3 milliards Fcfa en 2023.