Yamoussoukro– L’école supérieure d’agronomie de Yamoussoukro (Côte d’Ivoire) et Ho Technical University du Ghana vont bientôt fédérer leurs expériences à travers la création d’une chaire cacao, pour mieux relever tous les défis auxquels la filière cacao est confrontée.
Le Ghana et la Côte d’Ivoire qui détiennent plus de 60% de la production mondiale, vont mettre en place une formation commune, consensuelle et innovante, qu’ils n’hésiteront pas à étendre progressivement aux voisins du continent pour qui la spéculation occupe une place importante dans l’économie nationale.
« Ce sera de façon spécifique un programme agro-industriel focalisé sur la maitrise de toute la chaine des valeurs du cacao, allant des méthodes de culture à la transformation des productions ainsi qu’à la veille stratégique des marchés », a expliqué le directeur général de l’Institut national polytechnique Félix Houphouët-Boigny, Dr Koffi N’guessan, lors de la cérémonie de signature de l’accord-cadre de coopération entre son institut et l’entreprise BUHLER qui accompagne le projet.
« On sait que la Côte d’Ivoire est le plus gros exportateur de fèves au monde. Maintenant le défi, c’est de transformer ces fèves localement et de rajouter de la valeur à ces fèves. Pour faire ceci, nous avons besoin d’un outil de production qui est performant, de très haute technologie, mais aussi de main d’œuvre locale qualifiée capable de piloter ces usines-là qui vont transformer le cacao », a indiqué le directeur général de BULHER Côte d’Ivoire et Afrique de l’ouest, Abdelmajid Touzani.
Cet accord va permettre aux deux parties de développer davantage l’industrie de transformation du cacao à travers des programmes de formation d’élèves et des programmes de recherche et développement qui vont permettre à la filière de franchir un autre cap.
Gso/kp
Le Ghana et la Côte d’Ivoire qui détiennent plus de 60% de la production mondiale, vont mettre en place une formation commune, consensuelle et innovante, qu’ils n’hésiteront pas à étendre progressivement aux voisins du continent pour qui la spéculation occupe une place importante dans l’économie nationale.
« Ce sera de façon spécifique un programme agro-industriel focalisé sur la maitrise de toute la chaine des valeurs du cacao, allant des méthodes de culture à la transformation des productions ainsi qu’à la veille stratégique des marchés », a expliqué le directeur général de l’Institut national polytechnique Félix Houphouët-Boigny, Dr Koffi N’guessan, lors de la cérémonie de signature de l’accord-cadre de coopération entre son institut et l’entreprise BUHLER qui accompagne le projet.
« On sait que la Côte d’Ivoire est le plus gros exportateur de fèves au monde. Maintenant le défi, c’est de transformer ces fèves localement et de rajouter de la valeur à ces fèves. Pour faire ceci, nous avons besoin d’un outil de production qui est performant, de très haute technologie, mais aussi de main d’œuvre locale qualifiée capable de piloter ces usines-là qui vont transformer le cacao », a indiqué le directeur général de BULHER Côte d’Ivoire et Afrique de l’ouest, Abdelmajid Touzani.
Cet accord va permettre aux deux parties de développer davantage l’industrie de transformation du cacao à travers des programmes de formation d’élèves et des programmes de recherche et développement qui vont permettre à la filière de franchir un autre cap.
Gso/kp