Le Directeur Général , Directeur Régional UEMOA du Groupe Ecobank, Paul-Harry est intervenu à la conférence virtuelle organisée à l’occasion du 2ème anniversaire de l’initiative Zéro Palu en Afrique, ce jeudi 2 juillet 2020 .
Au cours de son Intervention Paul -Hary a réitéré l’engagement d’Ecobank à accentuer ses actions afin d’améliorer la vie des populations Africaines à travers les quatre coins du continent. Il a révélé que des plans accompagnés d’actions seront menés dans des pays cibles d’Afrique. Selon le DG Harry, cette initiative pour Ecobank est l’opportunité d’insister sur le fait que la contribution du secteur privé ne doit pas se limiter qu’à la mise à disposition de ressources. « Nous comptons travailler étroitement avec toutes les petites et moyennes entreprises afin de définir les politiques de travail pour une meilleure implémentation de celles-ci dans le dessein de soutenir la lutte contre le paludisme mais aussi tous les combats contre les fléaux sanitaires. », a déclaré le patron de la banque panafricaine.
Le DG a fait savoir que le paludisme accroît le seuil de pauvreté, met à mal l’éducation qui, pourtant demeure fondamentale pour le devenir du continent Africain. A l’en croire, l’éradication du paludisme nécessite l’étroite collaboration avec tous les secteurs de la société « publique mais aussi et surtout privée ». Ecobank est donc honorée d’être en avant dans cette démarche car « l’engagements en tant qu’institution privée qui participe de façon efficiente à l’émancipation et le bien-être du continent Africain est dans l’ADN d’Ecobank », a -t -il dit.
Les autres panélistes ont d’une même voix salué le leadership d’Ecobank pour soutenir Zéro Palu en Afrique. Dr Abdourahamane Diallo Directeur Général du ‘’partenariat RMB pour en finir avec le paludisme’’ a rappelé que « Zéro Palu en Afrique » encourage tous les citoyens à l’engagement personnel afin d’éradiquer le paludisme.
Dans le même élan Josephine Anan-Ankomah en charge du commercial banking du groupe Ecobank a appelé à la mise en place d’une plate-forme pour que les frères et sœurs Africains de la diaspora puissent apporter leurs contributions à la lutte. Selon elle « quand on veut aller vite, on y va seul, mais quand on veut aller loin, on part ensemble ».
MC
Au cours de son Intervention Paul -Hary a réitéré l’engagement d’Ecobank à accentuer ses actions afin d’améliorer la vie des populations Africaines à travers les quatre coins du continent. Il a révélé que des plans accompagnés d’actions seront menés dans des pays cibles d’Afrique. Selon le DG Harry, cette initiative pour Ecobank est l’opportunité d’insister sur le fait que la contribution du secteur privé ne doit pas se limiter qu’à la mise à disposition de ressources. « Nous comptons travailler étroitement avec toutes les petites et moyennes entreprises afin de définir les politiques de travail pour une meilleure implémentation de celles-ci dans le dessein de soutenir la lutte contre le paludisme mais aussi tous les combats contre les fléaux sanitaires. », a déclaré le patron de la banque panafricaine.
Le DG a fait savoir que le paludisme accroît le seuil de pauvreté, met à mal l’éducation qui, pourtant demeure fondamentale pour le devenir du continent Africain. A l’en croire, l’éradication du paludisme nécessite l’étroite collaboration avec tous les secteurs de la société « publique mais aussi et surtout privée ». Ecobank est donc honorée d’être en avant dans cette démarche car « l’engagements en tant qu’institution privée qui participe de façon efficiente à l’émancipation et le bien-être du continent Africain est dans l’ADN d’Ecobank », a -t -il dit.
Les autres panélistes ont d’une même voix salué le leadership d’Ecobank pour soutenir Zéro Palu en Afrique. Dr Abdourahamane Diallo Directeur Général du ‘’partenariat RMB pour en finir avec le paludisme’’ a rappelé que « Zéro Palu en Afrique » encourage tous les citoyens à l’engagement personnel afin d’éradiquer le paludisme.
Dans le même élan Josephine Anan-Ankomah en charge du commercial banking du groupe Ecobank a appelé à la mise en place d’une plate-forme pour que les frères et sœurs Africains de la diaspora puissent apporter leurs contributions à la lutte. Selon elle « quand on veut aller vite, on y va seul, mais quand on veut aller loin, on part ensemble ».
MC