Abidjan - La cinquième visioconférence (webinar) initiée par l’Institut national des administrateurs de Côte d’Ivoire (INAD-CI) a porté sur "L’information financière au cœur du processus de la gouvernance d’entreprise", rapporte une note d’information transmise mardi à l’AIP.
« L’information financière doit être de qualité et pour être dite de qualité, elle doit être fiable, c’est-à-dire exacte et à jour, correspondre parfaitement aux réalités du moment de l’entreprise et rapide d’accès », a précisé l’expert-comptable, François Siaka, par ailleurs secrétaire général de l’Ordre des experts comptables de Côte d’Ivoire (OEC-CI).
Cette session de formation dont l’objectif était de sensibiliser, d'informer et de former les dirigeants, membres du réseau de l’INAD-CI, a été animée le jeudi 25 juin 2020 par le cabinet international d’audit et de conseil Mazars.
« Collectées grâce aux pièces justificatives, factures, chèques et mémorisées à l’aide des logiciels comptables, les informations financières, avant d’apparaître dans des documents dit de synthèse, doivent être traités par des experts en la matière, notamment des commissaires aux comptes ou/et des experts-comptables pour être qualifiées de qualité », a ajouté l’expert comptable, en précisant que ces informations, englobent l’ensemble des communications officielles traitant du bilan, des comptes de résultat et des perspectives de l’entreprise.
L’article 46 de la Loi n° 97 du 04 septembre 1997, portant définition et organisation des sociétés d’Etat en Côte d’Ivoire, fait obligation de publier les bilans respectifs de ces sociétés dans un journal d’annonces légales, un mois franc après leurs approbations par le ministère de tutelle. Et l’article 54 menace de poursuites judiciaires les contrevenants à cette norme nationale, allant de la simple révocation du Conseil d'Administration à la sanction pécuniaire prononcée par un tribunal.
(AIP)
tg/cmas
« L’information financière doit être de qualité et pour être dite de qualité, elle doit être fiable, c’est-à-dire exacte et à jour, correspondre parfaitement aux réalités du moment de l’entreprise et rapide d’accès », a précisé l’expert-comptable, François Siaka, par ailleurs secrétaire général de l’Ordre des experts comptables de Côte d’Ivoire (OEC-CI).
Cette session de formation dont l’objectif était de sensibiliser, d'informer et de former les dirigeants, membres du réseau de l’INAD-CI, a été animée le jeudi 25 juin 2020 par le cabinet international d’audit et de conseil Mazars.
« Collectées grâce aux pièces justificatives, factures, chèques et mémorisées à l’aide des logiciels comptables, les informations financières, avant d’apparaître dans des documents dit de synthèse, doivent être traités par des experts en la matière, notamment des commissaires aux comptes ou/et des experts-comptables pour être qualifiées de qualité », a ajouté l’expert comptable, en précisant que ces informations, englobent l’ensemble des communications officielles traitant du bilan, des comptes de résultat et des perspectives de l’entreprise.
L’article 46 de la Loi n° 97 du 04 septembre 1997, portant définition et organisation des sociétés d’Etat en Côte d’Ivoire, fait obligation de publier les bilans respectifs de ces sociétés dans un journal d’annonces légales, un mois franc après leurs approbations par le ministère de tutelle. Et l’article 54 menace de poursuites judiciaires les contrevenants à cette norme nationale, allant de la simple révocation du Conseil d'Administration à la sanction pécuniaire prononcée par un tribunal.
(AIP)
tg/cmas