Abidjan- La directrice générale de l’Autorité de radioprotection, de sûreté et de sécurité nucléaires (ARSN), Pr Kouassi Goffri Marie-Chantal, a assuré le mardi 21 juillet 2020 à l’Hôtel Belle Côte à Abidjan, que les rayonnements ionisants sont indéniables dans plusieurs domaines d’activités.
Pr Goffri a expliqué lors du lancement d’un atelier d’évaluation du plan stratégique 2018-2020 de sa structure qu’avec les rayonnements ionisants, la population gagne beaucoup dans plusieurs domaines d’activités, notamment en médecine, en radiothérapie, en médecine nucléaire, en radiologie conventionnelle simple.
« Grâce à ces rayonnements ionisants, la médecine applique ces techniques qui permettent en effet de soigner la population. Il y a aussi des applications en radiographie industrielle où on peut à l’aide de technique nucléaire, voir la radio des tuyaux métalliques et savoir comment les corriger. Il y a de nombreux bienfait en agriculture, dans l’industrie pour les bétons, les routes (…) », a-t-elle déclaré.
Pour la directrice de l’ARSN, il y a beaucoup de possibilités, des avantages énormes avec les rayonnements ionisants. Toutefois, Pr Goffri a relevé que le mauvais usage de ces techniques peut être porteur d’inconvénients pour les populations. « Lorsqu’il y a une dose élevée de rayonnements ionisants, de radioactivité, c’est dangereux pour la population donc il faut contrôler cela pour que tout ce qui est utilisation de rayonnement ionisant soit fait en respectant les normes de radioprotection », a-t-elle conseillé.
Elle a expliqué que sa structure a décidé de se retrouver pendant trois jours pour faire le point, voir les difficultés rencontrées, comment les surmonter, y faire face les années à venir et voir si les missions à elle assignées par l’Etat de Côte d’Ivoire ont été remplies.
Le président du conseil d’administration de l’ARSN, Pr Kadjo Kouamé, a salué le travail accompli par cette structure. Pour lui, il est important que le plan stratégique soit évalué « pour permettre à l’ARSN d’assurer de façon efficace son objectif et ses missions ».
Les autorités nationales doivent s’assurer que tous les acteurs utilisant des matières nucléaires ou radioactives disposent de mesures de protection et de sécurité suffisantes. Sous l’inspiration de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), l’État ivoirien a créé, par la loi n°2013-701 du 10 octobre 2013 portant sûreté et sécurité nucléaires et protection contre les dangers des rayonnements ionisants, l’Autorité de Radioprotection, de Sûreté et Sécurité Nucléaires, en abrégé ARSN.
gak/cmas
Pr Goffri a expliqué lors du lancement d’un atelier d’évaluation du plan stratégique 2018-2020 de sa structure qu’avec les rayonnements ionisants, la population gagne beaucoup dans plusieurs domaines d’activités, notamment en médecine, en radiothérapie, en médecine nucléaire, en radiologie conventionnelle simple.
« Grâce à ces rayonnements ionisants, la médecine applique ces techniques qui permettent en effet de soigner la population. Il y a aussi des applications en radiographie industrielle où on peut à l’aide de technique nucléaire, voir la radio des tuyaux métalliques et savoir comment les corriger. Il y a de nombreux bienfait en agriculture, dans l’industrie pour les bétons, les routes (…) », a-t-elle déclaré.
Pour la directrice de l’ARSN, il y a beaucoup de possibilités, des avantages énormes avec les rayonnements ionisants. Toutefois, Pr Goffri a relevé que le mauvais usage de ces techniques peut être porteur d’inconvénients pour les populations. « Lorsqu’il y a une dose élevée de rayonnements ionisants, de radioactivité, c’est dangereux pour la population donc il faut contrôler cela pour que tout ce qui est utilisation de rayonnement ionisant soit fait en respectant les normes de radioprotection », a-t-elle conseillé.
Elle a expliqué que sa structure a décidé de se retrouver pendant trois jours pour faire le point, voir les difficultés rencontrées, comment les surmonter, y faire face les années à venir et voir si les missions à elle assignées par l’Etat de Côte d’Ivoire ont été remplies.
Le président du conseil d’administration de l’ARSN, Pr Kadjo Kouamé, a salué le travail accompli par cette structure. Pour lui, il est important que le plan stratégique soit évalué « pour permettre à l’ARSN d’assurer de façon efficace son objectif et ses missions ».
Les autorités nationales doivent s’assurer que tous les acteurs utilisant des matières nucléaires ou radioactives disposent de mesures de protection et de sécurité suffisantes. Sous l’inspiration de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), l’État ivoirien a créé, par la loi n°2013-701 du 10 octobre 2013 portant sûreté et sécurité nucléaires et protection contre les dangers des rayonnements ionisants, l’Autorité de Radioprotection, de Sûreté et Sécurité Nucléaires, en abrégé ARSN.
gak/cmas