Gagnoa - Le coordinateur des organisations professionnelles agricoles (OPA) du Conseil café-cacao en charge de l’appui au développement agricole, Mé Kouakou, a révélé lundi 17 août 2020 que moins de 5% des sociétés coopératives catégorisées dans la délégation régionale de Gagnoa sont performantes.
« A peine dix que l’on peut traiter de coopératives performantes » sur un total de 240 sociétés coopératives que compte la délégation régionale, a indiqué le coordonnateur à la faveur de l’atelier de restitution et de validation des résultats de l’étude diagnostique-catégorisation des sociétés coopératives de la délégation régionale de Gagnoa dont les travaux avaient été amorcés officiellement le 10 mars 2020.
Selon Mé Kouakou, ces dix sociétés coopératives réalisent à elles seules plus de 50% de la production du cacao de la zone de Gagnoa, Sinfra et d’Oumé.
L’objectif de l’atelier est de permettre à chacune des sociétés coopératives de s’approprier les résultats de l’étude, afin de maitriser ses propres faiblesses et pouvoir ainsi changer de stratégie de développement.
L’option proposée aux coopératives très faibles est de fusionner, selon M. Mé Kouakou qui a estimé qu’il est mieux d’être délégué dans une grosse société coopérative où l’on perçoit un revenu mensuel que d’être son propre président directeur général (PDG) et que sa coopérative a du mal à s’assurer un revenu annuel.
Dd/kp
« A peine dix que l’on peut traiter de coopératives performantes » sur un total de 240 sociétés coopératives que compte la délégation régionale, a indiqué le coordonnateur à la faveur de l’atelier de restitution et de validation des résultats de l’étude diagnostique-catégorisation des sociétés coopératives de la délégation régionale de Gagnoa dont les travaux avaient été amorcés officiellement le 10 mars 2020.
Selon Mé Kouakou, ces dix sociétés coopératives réalisent à elles seules plus de 50% de la production du cacao de la zone de Gagnoa, Sinfra et d’Oumé.
L’objectif de l’atelier est de permettre à chacune des sociétés coopératives de s’approprier les résultats de l’étude, afin de maitriser ses propres faiblesses et pouvoir ainsi changer de stratégie de développement.
L’option proposée aux coopératives très faibles est de fusionner, selon M. Mé Kouakou qui a estimé qu’il est mieux d’être délégué dans une grosse société coopérative où l’on perçoit un revenu mensuel que d’être son propre président directeur général (PDG) et que sa coopérative a du mal à s’assurer un revenu annuel.
Dd/kp