Abidjan- Une délégation du Fonds de développement de la formation professionnelle (FDFP), avec à sa tête son secrétaire général Ange Lionid Barry-Battesti, a sillonné durant la semaine dernière (du 9 au 13 août 2020) quatre région du pays : haut Sassandra, Worodougou, Béré et Gbèkè. Objectif, faire cette mission, faire le bilan 2019-2020 des activités du Fonds dans ces régions, échanger avec ses partenaires (entreprises, centres et cabinets de formations, …), et faire des dons aux populations vulnérables dans le cadre de la lutte contre le Covid 19. Le point avec M. Barry-Battesti, lors d’un entretien à Bouaké, dernière étape de cette tournée qui a pris fin le 13 août 2020.
AIP : Monsieur le secrétaire général. Vous venez de clore, ici à Bouaké, une tournée qui vous a mené successivement à Daloa, Séguéla, Mankono et Bouaké. Que devons-nous retenir de cette mission ?
Ange Lionid Barry-Battesti : Notre tournée nous a amené dans quatre régions. D’abord dans le haut Sassandra, dans Worodougou, dans le Téré et dans le Gbêkê. Il s’agissait pour nous de faire un bilan, un an après avoir pris fonction. Il fallait écouter nos partenaires pour constater les avancées après un an d’activité. Le bilan que nous faire est plutôt positif.
Nous avons une amélioration, en termes de payement, en termes de relation avec tous nos partenaires. En plus nous avons procédé à l’identification des projets qui vont présenter à nos administrateurs. Alors, je voudrais dire à ce niveau que je me réjouis de faire un bon retour à mes administrateurs et supérieurs et leur dire qu’ils peuvent être satisfaits des résultats que nous avons recueillis des régions que nous avons visité.
Quels sont les perspectives pour les prochaines années ?
D’abord, du fait de la COVID-19, il nous faut digitaliser nos services. Et il nous faut trouver voies et moyens pour rendre nos services plus performants et que nous puissions toujours accompagner le développement de nos localités dans la recherche des ressources additionnelles par le développement de notre fondation.
Est-ce que vous pouvez donner le bilan en termes de chiffres un an après ?
Nous avons pu payer en termes de formation en l’endroit des entreprises, des cabinets de formations, de partenaires environ 08 milliards. Nous avons également agréé 11.000 plans de formation
Monsieur le secrétaire général, la cartographie de la Côte-d’Ivoire, c’est 31 régions. Quelle est l’implantation du FDSP sur l’étendue du territoire ?
Pour le moment, nous sommes implantés dans 06 régions. Mais à partir de ces 06 régions nous arrivons à couvrir toute l’étendue du territoire.
Par Traoré Mamadou
AIP : Monsieur le secrétaire général. Vous venez de clore, ici à Bouaké, une tournée qui vous a mené successivement à Daloa, Séguéla, Mankono et Bouaké. Que devons-nous retenir de cette mission ?
Ange Lionid Barry-Battesti : Notre tournée nous a amené dans quatre régions. D’abord dans le haut Sassandra, dans Worodougou, dans le Téré et dans le Gbêkê. Il s’agissait pour nous de faire un bilan, un an après avoir pris fonction. Il fallait écouter nos partenaires pour constater les avancées après un an d’activité. Le bilan que nous faire est plutôt positif.
Nous avons une amélioration, en termes de payement, en termes de relation avec tous nos partenaires. En plus nous avons procédé à l’identification des projets qui vont présenter à nos administrateurs. Alors, je voudrais dire à ce niveau que je me réjouis de faire un bon retour à mes administrateurs et supérieurs et leur dire qu’ils peuvent être satisfaits des résultats que nous avons recueillis des régions que nous avons visité.
Quels sont les perspectives pour les prochaines années ?
D’abord, du fait de la COVID-19, il nous faut digitaliser nos services. Et il nous faut trouver voies et moyens pour rendre nos services plus performants et que nous puissions toujours accompagner le développement de nos localités dans la recherche des ressources additionnelles par le développement de notre fondation.
Est-ce que vous pouvez donner le bilan en termes de chiffres un an après ?
Nous avons pu payer en termes de formation en l’endroit des entreprises, des cabinets de formations, de partenaires environ 08 milliards. Nous avons également agréé 11.000 plans de formation
Monsieur le secrétaire général, la cartographie de la Côte-d’Ivoire, c’est 31 régions. Quelle est l’implantation du FDSP sur l’étendue du territoire ?
Pour le moment, nous sommes implantés dans 06 régions. Mais à partir de ces 06 régions nous arrivons à couvrir toute l’étendue du territoire.
Par Traoré Mamadou