Ferkessédougou-L'abondance des vivriers a fait chuter les prix au marché de Ferkessédougou, ont rapporté à l'AIP, des ménagères de Bromakoté, un quartier de la commune.
"Le marché de légumes est abondamment fourni en denrées de toutes sortes, piment, choux,carottes, courgettes, feuilles d'oignon, gombo, aubergines, entre autres", a fait savoir une habitante de Bromakoté, Touré Caroline, revenue du marché, le panier garni de provisions.
Selon une ménagère, Ouattara Madjalia, cette abondance est due aux fortes pluies de la saison, et également du fait que ces denrées soient périssables, les commerçante sont obligées de baisser les prix afin de "liquider" leurs marchandises.
Elle relève que ces vivriers sont accessibles à toutes les bourses. Le seau de piment qui coûtait 3000, à 3500 francs CFA en saison sèche est vendu à 1000 francs CFA, voire 500 francs CFA.
"Cette corbeille de courgettes m'est revenue à 2000 francs CFA, le seau de choux à 1500, alors qu'on devait payer le triple, voire même plus cher en saison sèche", a expliqué la ménagère qui en a profité pour des stocks de provisions.
Pour d'autres consommateurs, cette profusion de vivriers sur le marché est due au fait que la majorité de la population n'a pas assez d'argent. En plus, les populations sont dans la majorité préoccupées par la rentrée scolaire qui reste un soucis majeur.
ti/tad/fmo
"Le marché de légumes est abondamment fourni en denrées de toutes sortes, piment, choux,carottes, courgettes, feuilles d'oignon, gombo, aubergines, entre autres", a fait savoir une habitante de Bromakoté, Touré Caroline, revenue du marché, le panier garni de provisions.
Selon une ménagère, Ouattara Madjalia, cette abondance est due aux fortes pluies de la saison, et également du fait que ces denrées soient périssables, les commerçante sont obligées de baisser les prix afin de "liquider" leurs marchandises.
Elle relève que ces vivriers sont accessibles à toutes les bourses. Le seau de piment qui coûtait 3000, à 3500 francs CFA en saison sèche est vendu à 1000 francs CFA, voire 500 francs CFA.
"Cette corbeille de courgettes m'est revenue à 2000 francs CFA, le seau de choux à 1500, alors qu'on devait payer le triple, voire même plus cher en saison sèche", a expliqué la ménagère qui en a profité pour des stocks de provisions.
Pour d'autres consommateurs, cette profusion de vivriers sur le marché est due au fait que la majorité de la population n'a pas assez d'argent. En plus, les populations sont dans la majorité préoccupées par la rentrée scolaire qui reste un soucis majeur.
ti/tad/fmo