Abidjan, Le directeur des politiques communautaires macro-économiques et financières, du ministère de l’Intégration africaine et des Ivoiriens de l’extérieur, Golé Bi Golé Guillaume, a appelé mercredi 23 septembre 2020 à Abidjan, les entreprises ivoiriennes à faire des réformes pour tirer profit de l’accord de partenariat économique intérimaire (APEI).
Cet accord lie la Côte d’Ivoire à l’Union Européenne d’une part et d’autre part, la Côte d’Ivoire au Royaume uni.
Faisant le bilan de la mise en œuvre des APEI, M. Golé Bi a souhaité que ces réformes puissent être engagées en vue d’accroître les capacités de production des entreprises et procéder à une transition fiscale pour que d’autres sources de recettes soient utilisées pour permettre aux entreprises de respirer et de de continuer à fonctionner
« Les réformes sont importantes. Le fait d’enlever seulement, les droits de douanes ne suffit pas. Il faut entreprendre un certain nombre d’activités et d’actions. Par exemple, la transition fiscale qui consiste à trouver d’autres sources de recettes. Sinon, si nos entreprises se limitent seulement, à un petit atelier de production, elles ne pourront pas bénéficier des avantages qu’offre l’ouverture des marchés », a-t-il précisé dans une note d’information transmise à l’AIP.
Aussi, a-t-il exhorté les opérateurs économiques au travail pour mettre à niveau, les industries afin qu’elles soient présentes sur les deux marchés.
« Nous avons adapté simplement, le même accord, avec l’Union Européenne au Royaume-Uni. Dans les mêmes termes pratiquement et avec les mêmes thématiques et les mêmes disciplines pour que notre accès sur le marché du Royaume-Uni soit préservé et consolidé. Ce marché permet à la Côte d’Ivoire de faire en moyenne, chaque année, un excédent de 65 milliards de francs CFA », a-t-il poursuivi.
Cette réunion qui a réuni 41 participants, issus des administrations membres de la Commission APE, du Secrétariat de la Commission nationale APE, du Secteur privé et de structures non étatiques, avait pour but de faire un état des activités de suivi du Comité national APEI CI-UE.
(AIP)
bsp/fmo
Cet accord lie la Côte d’Ivoire à l’Union Européenne d’une part et d’autre part, la Côte d’Ivoire au Royaume uni.
Faisant le bilan de la mise en œuvre des APEI, M. Golé Bi a souhaité que ces réformes puissent être engagées en vue d’accroître les capacités de production des entreprises et procéder à une transition fiscale pour que d’autres sources de recettes soient utilisées pour permettre aux entreprises de respirer et de de continuer à fonctionner
« Les réformes sont importantes. Le fait d’enlever seulement, les droits de douanes ne suffit pas. Il faut entreprendre un certain nombre d’activités et d’actions. Par exemple, la transition fiscale qui consiste à trouver d’autres sources de recettes. Sinon, si nos entreprises se limitent seulement, à un petit atelier de production, elles ne pourront pas bénéficier des avantages qu’offre l’ouverture des marchés », a-t-il précisé dans une note d’information transmise à l’AIP.
Aussi, a-t-il exhorté les opérateurs économiques au travail pour mettre à niveau, les industries afin qu’elles soient présentes sur les deux marchés.
« Nous avons adapté simplement, le même accord, avec l’Union Européenne au Royaume-Uni. Dans les mêmes termes pratiquement et avec les mêmes thématiques et les mêmes disciplines pour que notre accès sur le marché du Royaume-Uni soit préservé et consolidé. Ce marché permet à la Côte d’Ivoire de faire en moyenne, chaque année, un excédent de 65 milliards de francs CFA », a-t-il poursuivi.
Cette réunion qui a réuni 41 participants, issus des administrations membres de la Commission APE, du Secrétariat de la Commission nationale APE, du Secteur privé et de structures non étatiques, avait pour but de faire un état des activités de suivi du Comité national APEI CI-UE.
(AIP)
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