Abidjan -Créé en décembre 2016 par décret, l’Observatoire de la qualité des services financiers de Côte d’Ivoire (OQSF-CI) fait son petit bonhomme de chemin dont le conseil d’orientation est dirigé par le directeur général du Trésor et de la Comptabilité publique, Assahoré Konan Jacques.
De plus en plus, cet instrument fruit d’un partenariat entre le gouvernement ivoirien et la Banque mondiale se place au cœur de la relation entre les fournisseurs et les consommateurs de services financiers, selon une note d’information transmise à l’AIP.
Au-delà de l’objectif d’amélioration du niveau d’accès des populations au crédit, à terme, l’action de l’observatoire, selon son secrétaire exécutif, Moussa Mamadou, induira le renforcement de l’inclusion financière.
Ceci sera possible grâce notamment au renforcement de la qualité de l’offre de services financiers et à l’instauration d’une saine concurrence entre les fournisseurs.
L’OQSF-CI contribue également à une meilleure sensibilisation du public aux enjeux de la finance de détail et à une bonne compréhension des services y relatifs.
Pour les organismes financiers, l’un des principaux atouts de l’OQSF-CI réside dans sa vocation à susciter une saine émulation en évaluant, périodiquement, la mise en œuvre de politiques et de procédures assurant à leurs services les standards de qualité escomptés.
Autre avantage et non des moindres, en promouvant le règlement amiable des différends, dans le cadre de la médiation financière, l’Observatoire contribue à la protection des consommateurs de services financiers et valorise l’éthique financière.
L’OQSF-CI entend prochainement mettre à la disponible des populations un programme d’éducation financière qui contribuera à accroître les connaissances du public en matière de finance, à l’informer de ses droits ainsi que des voies de recours possibles et, plus généralement, à le sensibiliser à l’adoption des bons réflexes financiers.
bsp/ask
De plus en plus, cet instrument fruit d’un partenariat entre le gouvernement ivoirien et la Banque mondiale se place au cœur de la relation entre les fournisseurs et les consommateurs de services financiers, selon une note d’information transmise à l’AIP.
Au-delà de l’objectif d’amélioration du niveau d’accès des populations au crédit, à terme, l’action de l’observatoire, selon son secrétaire exécutif, Moussa Mamadou, induira le renforcement de l’inclusion financière.
Ceci sera possible grâce notamment au renforcement de la qualité de l’offre de services financiers et à l’instauration d’une saine concurrence entre les fournisseurs.
L’OQSF-CI contribue également à une meilleure sensibilisation du public aux enjeux de la finance de détail et à une bonne compréhension des services y relatifs.
Pour les organismes financiers, l’un des principaux atouts de l’OQSF-CI réside dans sa vocation à susciter une saine émulation en évaluant, périodiquement, la mise en œuvre de politiques et de procédures assurant à leurs services les standards de qualité escomptés.
Autre avantage et non des moindres, en promouvant le règlement amiable des différends, dans le cadre de la médiation financière, l’Observatoire contribue à la protection des consommateurs de services financiers et valorise l’éthique financière.
L’OQSF-CI entend prochainement mettre à la disponible des populations un programme d’éducation financière qui contribuera à accroître les connaissances du public en matière de finance, à l’informer de ses droits ainsi que des voies de recours possibles et, plus généralement, à le sensibiliser à l’adoption des bons réflexes financiers.
bsp/ask