L’agence de gestion des routes (AGEROUTE) et l’Institut national polytechnique Houphouet-Boigny ont signé, le jeudi 1er octobre 2020, à Yamoussoukro, une convention de partenariat destinée à conjuguer les expertises des deux institutions afin de doter la Côte d’Ivoire de ressources humaines de qualité pour les entreprises et bureaux d’études dans l’optique de réaliser des routes de qualité et dans les meilleurs délais.
En raison des chantiers nombreux ouverts sur l’ensemble du territoire national, se pose avec acuité la question de la main d’œuvre qualifiée qui, selon le directeur général de l’AGEROUTE, Dimba Pierre, n’existe pratiquement plus.
"Aujourd’hui, quand vous cherchez un conducteur d’engin, c’est le même conducteur qui est à la limite disputé entre les différentes entreprises et c’est la même chose chez les laborantins, les surveillants de travaux, les conducteurs. C’est tout ce personnel-là que nous voulons former », a regretté M. Dimba.
Il s’agit du premier avenant d’une convention signée en janvier 2019 avec pour ambition la réalisation de nombreuses actions axées principalement sur les activités pédagogiques, à savoir entre autres les travaux d’étude et de recherche, les renforcements des capacités des formations et les visites de chantiers.
« Il y a des gens qui sont sortis des écoles, qui ont été ingénieurs, toute leur vie qui n’ont pas vu un pont comme le quatrième pont ou une autoroute. Donc je pense que tous ces chantiers, qui sont en train de se dérouler, doivent servir de cadre d’exercice pratique pour les étudiants », a-t-il ajouté.
L’accord signé comprend quatre principaux axes que sont l’encadrement pédagogique des formateurs de l’AGEROUTE, l’intervention des enseignants de l’INPHB dans le programme, la mise à disposition des locaux et équipements et l’exploitation des locaux et renforcement des équipements des laboratoires.
Il entre parfaitement dans la vision de l’INP-HB avec ce qu’il appelle « l’école de la deuxième chance » qui va consister, selon le directeur général Koffi N’guessan, à être capable de « transformer la formation de quelqu’un en formation de métier ».
(AIP)
gso/fmo
En raison des chantiers nombreux ouverts sur l’ensemble du territoire national, se pose avec acuité la question de la main d’œuvre qualifiée qui, selon le directeur général de l’AGEROUTE, Dimba Pierre, n’existe pratiquement plus.
"Aujourd’hui, quand vous cherchez un conducteur d’engin, c’est le même conducteur qui est à la limite disputé entre les différentes entreprises et c’est la même chose chez les laborantins, les surveillants de travaux, les conducteurs. C’est tout ce personnel-là que nous voulons former », a regretté M. Dimba.
Il s’agit du premier avenant d’une convention signée en janvier 2019 avec pour ambition la réalisation de nombreuses actions axées principalement sur les activités pédagogiques, à savoir entre autres les travaux d’étude et de recherche, les renforcements des capacités des formations et les visites de chantiers.
« Il y a des gens qui sont sortis des écoles, qui ont été ingénieurs, toute leur vie qui n’ont pas vu un pont comme le quatrième pont ou une autoroute. Donc je pense que tous ces chantiers, qui sont en train de se dérouler, doivent servir de cadre d’exercice pratique pour les étudiants », a-t-il ajouté.
L’accord signé comprend quatre principaux axes que sont l’encadrement pédagogique des formateurs de l’AGEROUTE, l’intervention des enseignants de l’INPHB dans le programme, la mise à disposition des locaux et équipements et l’exploitation des locaux et renforcement des équipements des laboratoires.
Il entre parfaitement dans la vision de l’INP-HB avec ce qu’il appelle « l’école de la deuxième chance » qui va consister, selon le directeur général Koffi N’guessan, à être capable de « transformer la formation de quelqu’un en formation de métier ».
(AIP)
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