Le Centre du commerce international (ITC), en partenariat avec le ministère du Commerce et de l’Industrie ont organisé vendredi 16 octobre 2020, un séminaire portant réflexion sur comment rendre le cajou ivoirien plus compétitif et comment conquérir les marchés britannique et européen ?
Afin d’informer toutes les parties des opportunités offertes à l’anacarde ivoirien sur les marchés britannique et européen, de ses conditions d’accès à ces marchés, ce séminaire a réuni plusieurs acteurs de la chaîne de valeur de l’anacarde ainsi que des représentants du groupement des industriels du cajou.
Il s’agissait, de façon spécifique, de comprendre l’opportunité que représente le marché européen pour la noix de cajou et de la part de marché actuellement non saisie du produit transformé ; s’approprier les conditions d’accès aux marchés britannique et européen de la noix de cajou.
« Ce séminaire vient à point nommé, d’autant plus que dans ce contexte marqué par l’augmentation de la demande de cajou sur les marchés européens, plusieurs contraintes freinent encore l’accès des Pme ivoiriennes exportatrices d’amandes de cajou à ces marchés, notamment les exigences liées à la qualité des produits et au respect des normes a indiqué Malan Michel, représentant le ministre du commerce et de l’industrie.
Selon lui, dans le cadre de la reforme des filières coton et anacarde adoptée en mars 2013, le gouvernement, sous l’impulsion du président Alassane Ouattara, a décidé de développer la transformation locale de l’anacarde afin d’en accroitre la valeur ajoutée et de créer des emplois. « Pour ce faire, l’objectif fixé est de parvenir à transformer localement au minimum 50% de la production de noix brutes de cajou à moyen terme, contre 5% en 2013 et environ 9,1% en 2019. »
Pour Malan Michel, pour atteindre cet objectif, le gouvernement a mis en œuvre, depuis 2014, un ensemble de mesures pour développer la transformation locale de l’anacarde et renforcer la compétitivité des unités de transformation de l’anacarde.
Prenant la parole, le directeur général adjoint du conseil coton anacarde, Berté Mamadou a fait savoir que les partages d’expériences de ce séminaire constituent une importante source d’informations stratégiques pour les acteurs institutionnels et professionnels de la filière anacarde en Côte d’Ivoire, notamment sur les exportateurs et les transformateurs.
Avant de clore ses propos, il a tenu à exprimer sa profonde gratitude à monsieur le ministre du commerce et de l’industrie pour son soutien constant à toues les initiatives pourtant sur le développement de la commercialisation et de la transformation de l’anacarde ivoirien.
PR
Afin d’informer toutes les parties des opportunités offertes à l’anacarde ivoirien sur les marchés britannique et européen, de ses conditions d’accès à ces marchés, ce séminaire a réuni plusieurs acteurs de la chaîne de valeur de l’anacarde ainsi que des représentants du groupement des industriels du cajou.
Il s’agissait, de façon spécifique, de comprendre l’opportunité que représente le marché européen pour la noix de cajou et de la part de marché actuellement non saisie du produit transformé ; s’approprier les conditions d’accès aux marchés britannique et européen de la noix de cajou.
« Ce séminaire vient à point nommé, d’autant plus que dans ce contexte marqué par l’augmentation de la demande de cajou sur les marchés européens, plusieurs contraintes freinent encore l’accès des Pme ivoiriennes exportatrices d’amandes de cajou à ces marchés, notamment les exigences liées à la qualité des produits et au respect des normes a indiqué Malan Michel, représentant le ministre du commerce et de l’industrie.
Selon lui, dans le cadre de la reforme des filières coton et anacarde adoptée en mars 2013, le gouvernement, sous l’impulsion du président Alassane Ouattara, a décidé de développer la transformation locale de l’anacarde afin d’en accroitre la valeur ajoutée et de créer des emplois. « Pour ce faire, l’objectif fixé est de parvenir à transformer localement au minimum 50% de la production de noix brutes de cajou à moyen terme, contre 5% en 2013 et environ 9,1% en 2019. »
Pour Malan Michel, pour atteindre cet objectif, le gouvernement a mis en œuvre, depuis 2014, un ensemble de mesures pour développer la transformation locale de l’anacarde et renforcer la compétitivité des unités de transformation de l’anacarde.
Prenant la parole, le directeur général adjoint du conseil coton anacarde, Berté Mamadou a fait savoir que les partages d’expériences de ce séminaire constituent une importante source d’informations stratégiques pour les acteurs institutionnels et professionnels de la filière anacarde en Côte d’Ivoire, notamment sur les exportateurs et les transformateurs.
Avant de clore ses propos, il a tenu à exprimer sa profonde gratitude à monsieur le ministre du commerce et de l’industrie pour son soutien constant à toues les initiatives pourtant sur le développement de la commercialisation et de la transformation de l’anacarde ivoirien.
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