Dans le souci de consolider les axes de sa Stratégie Nationale de Dialogue Public-Privé en vue de la rendre plus efficace et plus inclusive, le Secrétariat Exécutif du Comité de Concertation Etat-Secteur Privé (SE-CCESP) a initié ce 22 octobre 2020, à l’immeuble SCIAM au Plateau, une session de renforcement de capacités à l’attention des partenaires du cadre de concertation.
Venus pour l’occasion de l’Administration Publique et en grand nombre, du Secteur Privé, ceux-ci ont pu acquérir, développer et entretenir les connaissances sur les axes d’une bonne stratégie nationale de Dialogue Public Privé beaucoup plus fructueux et plus bénéfique pour les différents acteurs.
Cette session de renforcement de capacité dédiée aux faîtières, aux groupements ainsi qu’aux organisations professionnelles et associations consulaires, a été entièrement animée par les conseillers techniques du CCESP. Les partenaires techniques et financiers ont aussi rehaussé cet atelier de leur présence.
Trois thèmes ont été abordés. Le premier a porté sur : les fondements théoriques du Dialogue Public Privé et a été animé par M. Ismaël COULIBALY. « L’approche opérationnelle et la prise en charge des préoccupations / processus de réformes » avec des cas pratiques qui était le deuxième thème a été développé par M. Serges SEKE. Le troisième sujet dont l’objectif est de rendre plus dynamique les Organisations du secteur privé a porté sur les « Contributions du Secteur Privé dans le DPP : Gouvernance, Lobbying… », et a été animé par M. Souleymane SANGARE.
Ces différents thèmes avaient pour objectifs de mettre en lumière les enjeux d’un Dialogue Public Privé constructif à la lumière des expériences nationales et internationales. Présenter ensuite, les mécanismes institutionnels de Dialogue Public Privé en Côte d’Ivoire ; partager les meilleures expériences en matière de lobbying et de représentation des Organisations Intermédiaires du Secteur Privé et enfin échanger autour des outils de suivi du processus de Dialogue Public Privé.
M. Georges COPRE, représentant Mme Mariam FADIGA FOFANA, Secrétaire Exécutif du CCESP a tenu à préciser que le Comité de Concertation Etat/Secteur Privé a engagé depuis 2015, avec l’assistance technique de la Cellule d’Analyse des Politiques Economiques et Sociales du CIRES (CAPEC), un long processus participatif de diagnostic, d’analyse et de réflexions sur le Dialogue Public Privé ayant permis d’aboutir à une Stratégie Nationale de Dialogue Public Privé, validée en atelier le 27 février 2017. Au titre des orientations stratégiques, figure le renforcement de l’approche opérationnelle à travers l’implémentation d’une démarche structurée et harmonieuse de Dialogue Public Privé. Aussi, a-t-il insisté sur le fait que : «la mise en œuvre efficace de cette orientation stratégique relève en partie des capacités intrinsèques de chaque acteur du dialogue (public ou privé) pour une contribution productive dans le processus de Dialogue public privé ».
Dans cette perspective, M. Georges COPRE a insisté sur le fait que le Secrétariat Exécutif du CCESP entend poursuivre la formation en instituant des sessions de renforcement des capacités à l’attention des principaux acteurs du Dialogue Public Privé en Côte d’Ivoire.
Faut-il le rappeler, l’Etat ivoirien a donné un coup d’accélérateur à la concertation avec le secteur privé à travers la redynamisation du CCESP en 2013, en permettant à ce que l’ancrage institutionnel du Secrétariat Exécutif passe du ministère de l’Industrie à la Primature. Ce Comité s’est doté de deux instances de décisions que sont le Comité Technique de Concertation (CTC) et le Conseil de Concertation (CC) présidé respectivement par le Ministre de l’Economie et des Finances et le Premier Ministre.
Plusieurs voix du secteur privé se sont élevées au cours de cet atelier pour saluer le travail remarquable de facilitation accompli par le CCESP à travers son Secrétariat Exécutif. Certains intervenants ont aussi invité les acteurs des organisations patronales des PMES à taire les querelles intestines de leadership afin de parler d’une même voix en vue d’arriver à des résultats probants. La recommandation de donner plus de pouvoir au CCESP à travers ce cadre de concertation a aussi été formulée.
M. COPRE a rappelé à toutes fins utiles que les conclusions des travaux du cadre de concertation s’inscrivent dans la continuité de l’action gouvernementale. Il a ensuite exhorté le Secteur Privé à animer ce cadre de concertation à travers des sujets documentés et bien orientés leur permettant de mieux se faire comprendre de l’Etat et obtenir ainsi gain de cause. Ce qui permettra à l’économie de mieux se porter.
Sercom
Venus pour l’occasion de l’Administration Publique et en grand nombre, du Secteur Privé, ceux-ci ont pu acquérir, développer et entretenir les connaissances sur les axes d’une bonne stratégie nationale de Dialogue Public Privé beaucoup plus fructueux et plus bénéfique pour les différents acteurs.
Cette session de renforcement de capacité dédiée aux faîtières, aux groupements ainsi qu’aux organisations professionnelles et associations consulaires, a été entièrement animée par les conseillers techniques du CCESP. Les partenaires techniques et financiers ont aussi rehaussé cet atelier de leur présence.
Trois thèmes ont été abordés. Le premier a porté sur : les fondements théoriques du Dialogue Public Privé et a été animé par M. Ismaël COULIBALY. « L’approche opérationnelle et la prise en charge des préoccupations / processus de réformes » avec des cas pratiques qui était le deuxième thème a été développé par M. Serges SEKE. Le troisième sujet dont l’objectif est de rendre plus dynamique les Organisations du secteur privé a porté sur les « Contributions du Secteur Privé dans le DPP : Gouvernance, Lobbying… », et a été animé par M. Souleymane SANGARE.
Ces différents thèmes avaient pour objectifs de mettre en lumière les enjeux d’un Dialogue Public Privé constructif à la lumière des expériences nationales et internationales. Présenter ensuite, les mécanismes institutionnels de Dialogue Public Privé en Côte d’Ivoire ; partager les meilleures expériences en matière de lobbying et de représentation des Organisations Intermédiaires du Secteur Privé et enfin échanger autour des outils de suivi du processus de Dialogue Public Privé.
M. Georges COPRE, représentant Mme Mariam FADIGA FOFANA, Secrétaire Exécutif du CCESP a tenu à préciser que le Comité de Concertation Etat/Secteur Privé a engagé depuis 2015, avec l’assistance technique de la Cellule d’Analyse des Politiques Economiques et Sociales du CIRES (CAPEC), un long processus participatif de diagnostic, d’analyse et de réflexions sur le Dialogue Public Privé ayant permis d’aboutir à une Stratégie Nationale de Dialogue Public Privé, validée en atelier le 27 février 2017. Au titre des orientations stratégiques, figure le renforcement de l’approche opérationnelle à travers l’implémentation d’une démarche structurée et harmonieuse de Dialogue Public Privé. Aussi, a-t-il insisté sur le fait que : «la mise en œuvre efficace de cette orientation stratégique relève en partie des capacités intrinsèques de chaque acteur du dialogue (public ou privé) pour une contribution productive dans le processus de Dialogue public privé ».
Dans cette perspective, M. Georges COPRE a insisté sur le fait que le Secrétariat Exécutif du CCESP entend poursuivre la formation en instituant des sessions de renforcement des capacités à l’attention des principaux acteurs du Dialogue Public Privé en Côte d’Ivoire.
Faut-il le rappeler, l’Etat ivoirien a donné un coup d’accélérateur à la concertation avec le secteur privé à travers la redynamisation du CCESP en 2013, en permettant à ce que l’ancrage institutionnel du Secrétariat Exécutif passe du ministère de l’Industrie à la Primature. Ce Comité s’est doté de deux instances de décisions que sont le Comité Technique de Concertation (CTC) et le Conseil de Concertation (CC) présidé respectivement par le Ministre de l’Economie et des Finances et le Premier Ministre.
Plusieurs voix du secteur privé se sont élevées au cours de cet atelier pour saluer le travail remarquable de facilitation accompli par le CCESP à travers son Secrétariat Exécutif. Certains intervenants ont aussi invité les acteurs des organisations patronales des PMES à taire les querelles intestines de leadership afin de parler d’une même voix en vue d’arriver à des résultats probants. La recommandation de donner plus de pouvoir au CCESP à travers ce cadre de concertation a aussi été formulée.
M. COPRE a rappelé à toutes fins utiles que les conclusions des travaux du cadre de concertation s’inscrivent dans la continuité de l’action gouvernementale. Il a ensuite exhorté le Secteur Privé à animer ce cadre de concertation à travers des sujets documentés et bien orientés leur permettant de mieux se faire comprendre de l’Etat et obtenir ainsi gain de cause. Ce qui permettra à l’économie de mieux se porter.
Sercom