Abidjan - Le secteur privée ivoirien a adressé un manifeste composé de 10 principales préoccupations au gouvernement, devant lui permettre d’être "un secteur leader" dans l’économie.
Ce document a été présenté et remis mardi 27 octobre 2020 au ministre du Commerce et de l’Industrie, Souleymane Diarrassouba, lors d’une cérémonie, organisée par l’Initiative citoyenne du secteur privée (ICSP), présidée par Touré Faman, président de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Côte d’Ivoire.
Le secteur privé appelle ainsi à la finalisation de la reforme fiscale, avec l’institution d’une fiscalité pro-secteur privé, à l’extension des réformes du système bancaire et de l’accès au financement du secteur, privé, à la promotion d’une part plus accrue du secteur privé à la commande publique nationale.
Les entreprises, PME et PMI souhaitent également la mise en place d’un Conseil présidentiel du secteur privé, la poursuite et l’extension du programme de champions nationaux et continentaux, l’industrialisation par la promotion des unités industrielles locales.
Enfin, le secteur privé plaide pour l’intégration régionale, moyen pour la création d’un marché étendue, et pour le renforcement des politiques sectoriels et la consolidation de l’environnement des affaires.
Ce secteur regroupe plus de 60.000 entreprises actives, un stock de 144.000 PME enregistrées à la fin 2019 dont environ 14.000 créées en 2019. Les PME constituent 98% du tissu économique formel , 20%du PIB , 12% de l’investissement national et 23% de la populations active et contribue à plus de 32% des impôts sur salaire, relève-t-on.
tad/tm
Ce document a été présenté et remis mardi 27 octobre 2020 au ministre du Commerce et de l’Industrie, Souleymane Diarrassouba, lors d’une cérémonie, organisée par l’Initiative citoyenne du secteur privée (ICSP), présidée par Touré Faman, président de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Côte d’Ivoire.
Le secteur privé appelle ainsi à la finalisation de la reforme fiscale, avec l’institution d’une fiscalité pro-secteur privé, à l’extension des réformes du système bancaire et de l’accès au financement du secteur, privé, à la promotion d’une part plus accrue du secteur privé à la commande publique nationale.
Les entreprises, PME et PMI souhaitent également la mise en place d’un Conseil présidentiel du secteur privé, la poursuite et l’extension du programme de champions nationaux et continentaux, l’industrialisation par la promotion des unités industrielles locales.
Enfin, le secteur privé plaide pour l’intégration régionale, moyen pour la création d’un marché étendue, et pour le renforcement des politiques sectoriels et la consolidation de l’environnement des affaires.
Ce secteur regroupe plus de 60.000 entreprises actives, un stock de 144.000 PME enregistrées à la fin 2019 dont environ 14.000 créées en 2019. Les PME constituent 98% du tissu économique formel , 20%du PIB , 12% de l’investissement national et 23% de la populations active et contribue à plus de 32% des impôts sur salaire, relève-t-on.
tad/tm