Bouaké- Le ministre des mines et de la géologie, Jean-Claude Kouassi, a procédé, mercredi 28 octobre 2020, à l’ouverture officielle du chantier-école du village de Yao-Amoinkro situé dans la sous-préfecture de Brobo.
Il s’agit d’un centre de formation aux techniques et aux méthodes de l’exploitation minière artisanale et semi-industrielle dont la toute première promotion compte 30 impétrants issus pour la plupart des sociétés coopératives d’exploitation minière et des localités riveraines de ce site de formation.
Selon le premier responsable du département des mines et de la géologie, la création de ce chantier-école vise à garantir une formation de qualité, un encadrement et un suivi régulier et efficace des artisans miniers, le développement économique durable et la création d’emplois pérennes et décents dans le secteur de la petite mine.
Ce dernier a, par conséquent, exhorté les jeunes de Botro et de la région de Gbêkê à saisir l’opportunité que leur offre le chantier-école de Yao-Amoinkro pour apprendre les bonnes pratiques afin d’être des « artisans miniers modernes et modèles ».
« Soyez à la fin de votre formation, des artisans miniers modernes et modèles, gardiens vigilants du respect scrupuleux des règles minières, environnementales et sociales », a recommandé le ministre Jean-Claude Kouassi.
Le chantier-école de Yao-Amoinkro est le 10e du genre à voir le jour en Côte d’Ivoire après ceux de Bozi (Bouaflé), Katiendé (Boundiali), Loboville (Buyo), Nangbokro (Daoukro), Abradine (Yakassé-Attobrou), Tanguelan (Agnibilékrou), Booré-Akpokro (Dimbokro), Nébo (Divo) et Souleymanekaha (Dabakala).
A la fin de l’année 2012, le pays comptera 12 chantiers-écoles pour une capacité d’accueil d’au moins 1 200 artisans miniers par an, assure-t-on.
rkk
Il s’agit d’un centre de formation aux techniques et aux méthodes de l’exploitation minière artisanale et semi-industrielle dont la toute première promotion compte 30 impétrants issus pour la plupart des sociétés coopératives d’exploitation minière et des localités riveraines de ce site de formation.
Selon le premier responsable du département des mines et de la géologie, la création de ce chantier-école vise à garantir une formation de qualité, un encadrement et un suivi régulier et efficace des artisans miniers, le développement économique durable et la création d’emplois pérennes et décents dans le secteur de la petite mine.
Ce dernier a, par conséquent, exhorté les jeunes de Botro et de la région de Gbêkê à saisir l’opportunité que leur offre le chantier-école de Yao-Amoinkro pour apprendre les bonnes pratiques afin d’être des « artisans miniers modernes et modèles ».
« Soyez à la fin de votre formation, des artisans miniers modernes et modèles, gardiens vigilants du respect scrupuleux des règles minières, environnementales et sociales », a recommandé le ministre Jean-Claude Kouassi.
Le chantier-école de Yao-Amoinkro est le 10e du genre à voir le jour en Côte d’Ivoire après ceux de Bozi (Bouaflé), Katiendé (Boundiali), Loboville (Buyo), Nangbokro (Daoukro), Abradine (Yakassé-Attobrou), Tanguelan (Agnibilékrou), Booré-Akpokro (Dimbokro), Nébo (Divo) et Souleymanekaha (Dabakala).
A la fin de l’année 2012, le pays comptera 12 chantiers-écoles pour une capacité d’accueil d’au moins 1 200 artisans miniers par an, assure-t-on.
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