Les rapports 2018 et 2019 du Conseil national des droits de l’homme (CNDH) sur l’état des droits de l’homme en Côte d’Ivoire ont été présentés, lundi 16 novembre 2020 à Abidjan, au ministre auprès du président de la République, chargé des Relations avec les Institutions de la République, Gilbert Koné Kafana.
La présidente du CNDH, Namizata Sangaré, accompagnée de ses plus proches collaborateurs, a remis des exemplaires de ces documents au ministre Gilbert Kafana, représentant le président de la République, Alassane Ouattara.
« Le CNDH sacrifie à une exigence légale, celle de remettre officiellement au président de la République, son rapport annuel sur l’état des droits de l’homme en Côte d’Ivoire », a déclaré Namizata Sangaré.
Ces rapports annuels comprennent chacun trois parties, à savoir l’état des droits de l’homme, les acquis, perspectives et recommandations, et la troisième partie expose les activités menées par le CNDH.
Le ministre auprès du président de la République, chargé des Relations avec les Institutions de la République, qui avait à ses côtés la secrétaire d’Etat auprès du Garde des Sceaux, ministre de la Justice et des Droits de l’Homme, chargée des Droits de l’Homme, Aimée Zébéyoux, a estimé que « cette cérémonie exprime la place hautement privilégiée accordée à la problématique des droits humains par le gouvernement dans le processus de développement de notre pays ».
(AIP)
Gak/kp
La présidente du CNDH, Namizata Sangaré, accompagnée de ses plus proches collaborateurs, a remis des exemplaires de ces documents au ministre Gilbert Kafana, représentant le président de la République, Alassane Ouattara.
« Le CNDH sacrifie à une exigence légale, celle de remettre officiellement au président de la République, son rapport annuel sur l’état des droits de l’homme en Côte d’Ivoire », a déclaré Namizata Sangaré.
Ces rapports annuels comprennent chacun trois parties, à savoir l’état des droits de l’homme, les acquis, perspectives et recommandations, et la troisième partie expose les activités menées par le CNDH.
Le ministre auprès du président de la République, chargé des Relations avec les Institutions de la République, qui avait à ses côtés la secrétaire d’Etat auprès du Garde des Sceaux, ministre de la Justice et des Droits de l’Homme, chargée des Droits de l’Homme, Aimée Zébéyoux, a estimé que « cette cérémonie exprime la place hautement privilégiée accordée à la problématique des droits humains par le gouvernement dans le processus de développement de notre pays ».
(AIP)
Gak/kp