Abidjan - La croissance économique devrait atteindre 1,8% en 2020 et rebondir à 6,5%, en 2021, malgré un environnement international toujours marqué par le Covid-19, a déclaré une mission du Fonds Monétaire International (FMI), relative à la septième et à la huitième revue du Programme économique et financier.
Selon cette mission, qui s'est tenue du 15 septembre au 04 octobre 2020 par visioconférence, l’inflation en Côte d'Ivoire devrait être maîtrisée en dessous du seuil de 3% de la norme communautaire de l’UEMOA à moyen terme. Aussi, les perspectives macroéconomiques à moyen terme demeurent favorables.
Couplées, en raison de la non tenue de la 7e revue qui n’a pu avoir lieu en mars 2020 tel que prévu, du fait des contraintes liées à la pandémie du Covid-19, ces deux derrières missions du FMI ont relevé une performance satisfaisante du programme à fin décembre 2019.
Elles ont établi que le cadre macroéconomique est demeuré solide en dépit de l'impact négatif de la pandémie sur plusieurs secteurs économiques. La réponse rapide et adéquate du Gouvernement et la solidité des fondamentaux de l’économie ont permis une croissance plus résiliente qu’ailleurs, a rapporté le porte parole du gouvernement, Sidi Touré.
Toutefois, pour faire face aux défis importants et aux dépenses supplémentaires liées aux deux plans de riposte sanitaire et de soutien de l’activité économique, les parties ont convenu d’un déficit budgétaire de 5,9% du PIB en 2020, a indiqué M. Touré, le ministre de la Communication et des Médias.
Pour 2021, le niveau du déficit budgétaire devrait être réduit à 4,6% du PIB puis converger vers la norme communautaire de 3% du PIB en 2023.
nmfa/fmo
Selon cette mission, qui s'est tenue du 15 septembre au 04 octobre 2020 par visioconférence, l’inflation en Côte d'Ivoire devrait être maîtrisée en dessous du seuil de 3% de la norme communautaire de l’UEMOA à moyen terme. Aussi, les perspectives macroéconomiques à moyen terme demeurent favorables.
Couplées, en raison de la non tenue de la 7e revue qui n’a pu avoir lieu en mars 2020 tel que prévu, du fait des contraintes liées à la pandémie du Covid-19, ces deux derrières missions du FMI ont relevé une performance satisfaisante du programme à fin décembre 2019.
Elles ont établi que le cadre macroéconomique est demeuré solide en dépit de l'impact négatif de la pandémie sur plusieurs secteurs économiques. La réponse rapide et adéquate du Gouvernement et la solidité des fondamentaux de l’économie ont permis une croissance plus résiliente qu’ailleurs, a rapporté le porte parole du gouvernement, Sidi Touré.
Toutefois, pour faire face aux défis importants et aux dépenses supplémentaires liées aux deux plans de riposte sanitaire et de soutien de l’activité économique, les parties ont convenu d’un déficit budgétaire de 5,9% du PIB en 2020, a indiqué M. Touré, le ministre de la Communication et des Médias.
Pour 2021, le niveau du déficit budgétaire devrait être réduit à 4,6% du PIB puis converger vers la norme communautaire de 3% du PIB en 2023.
nmfa/fmo