Abidjan – Le Conseil Hévéa – Palmier à huile (CHPH) élabore le cadre de suivi de la mise en œuvre de la convention entre l’Etat et les industriels du caoutchouc, en coordination avec les acteurs impliqués dans cette réforme majeure, entre autres, le Centre de promotion des investissements en Côte d’Ivoire (CEPICI), l’Association des usiniers producteurs de caoutchouc naturel (AUPCN) et le ministère de l’Agriculture et du développement rural.
Le CHPH, en lien avec le CEPICI, assure la coordination et le suivi de la mise en œuvre de cette convention, qui avait été signée, mardi 16 juin 2020, à la Primature entre l’Etat ivoirien et 12 entreprises de transformation de de caoutchouc naturel, rappelle-t-on.
Cette rencontre vise à s’accorder sur les outils de suivi, de sorte, qu’au terme des investissements réalisés par les industriels de la filière hévéa, ceux-ci puissent bénéficier de divers avantages fiscaux, notamment, les crédits d’impôts et d’exonérations de tva, a déclaré le Directeur général du CHPH, Edmond Coulibaly, lors d'un atelier sur la mise en œuvre du cadre de suivi de cette convention, mercredi 25 novembre 2020, à Grand-Bassam,.
« Nous avons mis en place un comité de suivi. Tous ceux qui étaient présents à cette rencontre sont membres de ce comité. (..) Le travail va continuer de sorte à booster les investissements dans ce secteur et permettre de résorber le gap de 400 mille tonnes, en terme de capacité industrielle », a-t-il déclaré.
Il s’agit, notamment, de mettre en place un système qui permet aux acteurs de la filière concernée de savoir à quelle structure s’adresser pour bénéficier des avantages liés à la convention, a ajouté le conseiller technique du ministre du Commerce et de l’Industrie, Dr Malan Michel.
« Pour ce qui concerne l’hévéa, nous voulons atteindre un volume de transformation, d’au moins 400 000 mille tonnes sur une période de quatre ans », a-t-il indiqué. A terme, l’Etat vise la transformation de la totalité de la production de caoutchouc naturel ivoirien.
Ces 12 conventions d’investissements conclues entre l’Etat et les entreprises de transformation du caoutchouc naturel s’élèvent à 58,5 milliards F CFA, en terme de mesures fiscales et douanières incitatives spécifiques liées aux investissements réalisés, au titre de la création et du développement d’activités.
Les usiniers partagent cette ambition du gouvernement ivoirien pour le bien bien-être des acteurs de cette filière, a indiqué le président de l’AUPCN, Yacé Charles Emmanuel.
Le CHPH est l'organe de régulation de contrôle et de suivi des filières hévéa et palmier à huile. Sa mission est de créer les conditions d’une nouvelle dynamique de croissance et de développement des filières Hévéa et Palmier à Huile en Côte d'Ivoire.
(AIP)
nmfa/ask
Le CHPH, en lien avec le CEPICI, assure la coordination et le suivi de la mise en œuvre de cette convention, qui avait été signée, mardi 16 juin 2020, à la Primature entre l’Etat ivoirien et 12 entreprises de transformation de de caoutchouc naturel, rappelle-t-on.
Cette rencontre vise à s’accorder sur les outils de suivi, de sorte, qu’au terme des investissements réalisés par les industriels de la filière hévéa, ceux-ci puissent bénéficier de divers avantages fiscaux, notamment, les crédits d’impôts et d’exonérations de tva, a déclaré le Directeur général du CHPH, Edmond Coulibaly, lors d'un atelier sur la mise en œuvre du cadre de suivi de cette convention, mercredi 25 novembre 2020, à Grand-Bassam,.
« Nous avons mis en place un comité de suivi. Tous ceux qui étaient présents à cette rencontre sont membres de ce comité. (..) Le travail va continuer de sorte à booster les investissements dans ce secteur et permettre de résorber le gap de 400 mille tonnes, en terme de capacité industrielle », a-t-il déclaré.
Il s’agit, notamment, de mettre en place un système qui permet aux acteurs de la filière concernée de savoir à quelle structure s’adresser pour bénéficier des avantages liés à la convention, a ajouté le conseiller technique du ministre du Commerce et de l’Industrie, Dr Malan Michel.
« Pour ce qui concerne l’hévéa, nous voulons atteindre un volume de transformation, d’au moins 400 000 mille tonnes sur une période de quatre ans », a-t-il indiqué. A terme, l’Etat vise la transformation de la totalité de la production de caoutchouc naturel ivoirien.
Ces 12 conventions d’investissements conclues entre l’Etat et les entreprises de transformation du caoutchouc naturel s’élèvent à 58,5 milliards F CFA, en terme de mesures fiscales et douanières incitatives spécifiques liées aux investissements réalisés, au titre de la création et du développement d’activités.
Les usiniers partagent cette ambition du gouvernement ivoirien pour le bien bien-être des acteurs de cette filière, a indiqué le président de l’AUPCN, Yacé Charles Emmanuel.
Le CHPH est l'organe de régulation de contrôle et de suivi des filières hévéa et palmier à huile. Sa mission est de créer les conditions d’une nouvelle dynamique de croissance et de développement des filières Hévéa et Palmier à Huile en Côte d'Ivoire.
(AIP)
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