La population attend beaucoup de la part du secteur privé qui aura plusieurs rencontres certainement avec le gouvernement pour plancher sur l’annexe fiscale 2021. Le secteur privé devra prendre fait et cause pour la population en faisant en sorte que le gouvernement revoie à la baisse certaines prétentions qui ne feront qu’augmenter les prix à la consommation. Le patronat avait souhaité ne pas enregistrer de nouvelles taxes dans l’annexe fiscale 2021. « Nous voudrions, Monsieur le Premier Ministre, solliciter votre implication pour un gel des opérations de Côte d’Ivoire Métrologie en attendant une relecture de la convention et la discussion sur des tarifs concertés. De même, nous sollicitons l’arrêt de toutes les procédures de recouvrement engagées par le District d’Abidjan, dont la taxation ne semble relever d’aucune disposition légale. Toujours dans ce contexte difficile, en ce qui concerne l’annexe fiscale 2021, nous formulons la demande que celle-ci ne comporte aucune taxation nouvelle, mais par contre, qu’elle apporte des corrections sur des situations antérieures préjudiciables à certains secteurs d’activités, et source d’inéquité fiscale. Par exemple, nous attendons toujours que le taux de l’impôt BIC du secteur télécom soit ramené de 30 à 25%, comme pour tous les autres secteurs.
Que la taxe sur le caoutchouc due par les usiniers de la filière hévéa soit aujourd’hui définitivement supprimée. Il est aussi fondamental que l’impôt minimum forfaitaire, déjà suspendu par l’annexe fiscale 2020, soit définitivement supprimé » avait formulé, Jean Marie-Ackah, président de la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI), lors d’une rencontre avec le Premier ministre, Hamed Bakayoko. Le secteur privé doit donc tenir bon et défendre les intérêts des entreprises à la grande satisfaction des populations.
Que la taxe sur le caoutchouc due par les usiniers de la filière hévéa soit aujourd’hui définitivement supprimée. Il est aussi fondamental que l’impôt minimum forfaitaire, déjà suspendu par l’annexe fiscale 2020, soit définitivement supprimé » avait formulé, Jean Marie-Ackah, président de la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI), lors d’une rencontre avec le Premier ministre, Hamed Bakayoko. Le secteur privé doit donc tenir bon et défendre les intérêts des entreprises à la grande satisfaction des populations.