Yamoussoukro - L’ONG internationale IRC dans le cadre de l’exécution du projet Flash ( Family Life And Sexual and reproductive Health right promotion) a organisé le vendredi 4 décembre 2020 à Yamoussoukro une table-ronde avec divers leaders communautaires et les professionnels de la santé sur « les obstacles à la non fréquentation des services de planification familiale ».
Cette rencontre placée sous l’autorité du préfet de Yamoussoukro et marquée par une forte présence des responsables du district sanitaire visait à encourager et inviter ces acteurs à sensibiliser les populations à fréquenter les services de santé de la reproduction.
L’un des objectifs du projet FLASH financé par le fonds des Nations Unies pour les populations (UNFPA) et Affaires mondiales –Canada, est de contribuer à relever le taux d’utilisation des services de santé publics et parapublics qui était estimé à 28,75% en Côte d’Ivoire en 2011.
En plus de la fréquentation le programme entend « améliorer l’accès et les connaissances des populations sur des questions de santé de la reproduction et de planification familiale », a expliqué la chef de projet santé à IRC, Armelle Mominé.
Selon elle, depuis 2011, il y a des avancées sur la question dans le district sanitaire de Yamoussoukro, mais « il ne faut pas baisser la garde. Il faut toujours continuer la lutte, les activités de sensibilisation, d’où l’importance du programme FLASH".
gso/tm
Cette rencontre placée sous l’autorité du préfet de Yamoussoukro et marquée par une forte présence des responsables du district sanitaire visait à encourager et inviter ces acteurs à sensibiliser les populations à fréquenter les services de santé de la reproduction.
L’un des objectifs du projet FLASH financé par le fonds des Nations Unies pour les populations (UNFPA) et Affaires mondiales –Canada, est de contribuer à relever le taux d’utilisation des services de santé publics et parapublics qui était estimé à 28,75% en Côte d’Ivoire en 2011.
En plus de la fréquentation le programme entend « améliorer l’accès et les connaissances des populations sur des questions de santé de la reproduction et de planification familiale », a expliqué la chef de projet santé à IRC, Armelle Mominé.
Selon elle, depuis 2011, il y a des avancées sur la question dans le district sanitaire de Yamoussoukro, mais « il ne faut pas baisser la garde. Il faut toujours continuer la lutte, les activités de sensibilisation, d’où l’importance du programme FLASH".
gso/tm
