Yamoussoukro – Les équipementiers du secteur du coton et de l’anacarde ont mis sur pied une plateforme vendredi 11 décembre 2020 en vue de prendre ensemble une part active dans l’émergence d’une véritable industrie locale de fabrication et de maintenance de matériels et équipements destinés à la transformation de l’anacarde.
Pendant deux jours, une cinquantaine d’équipementiers, transformateurs et structures d’appui notamment l’Institut National Polytechnique Houphouët Boigny (INP-HB) ont réfléchi sur la mise en place de cette plateforme à Yamoussoukro à l’instigation du conseil national coton-anacarde.
Le conseil a ouvert d’importants chantiers en vue de faciliter l’installation d’unités industrielles de transformation. Ainsi d’ici la fin du mois de décembre l’aménagement des zones agro-industrielles dédiées à la transformation de l’anacarde va débuter à Bondoukou et Korhogo.
Selon son directeur général, docteur Adama Coulibaly tout ce bouillonnement dans le secteur s’inscrit dans le cadre du Projet de Promotion de la Compétitivité de la Chaine de valeur de l’Anacarde.
« Soyez rassurez de notre volonté et de notre engagement à soutenir toutes les initiatives allant dans le sens de l’amélioration des moyens et procédés de production dans la transformation de tous les produits et sous-produits de l’anacarde », a –t-il déclaré à l'endroit des équipementiers.
La Côte d’Ivoire qui tient le premier rang mondial dans la production de noix de cajou veut relever le pari du développement local de la production et la maintenance d’équipements adaptés au contexte local.
« L’institution du Salon International des Equipements et des Technologies de l’Anacarde (SIETTA) sous l’impulsion du Conseil du Coton et de l’Anacarde, dont l’édition de 2020 n’a pas pu malheureusement se tenir du fait de la pandémie de la Covid 19, est la preuve de notre volonté de promouvoir la transformation locale par une politique de transfert progressif de technologie ».
gso/ask
Pendant deux jours, une cinquantaine d’équipementiers, transformateurs et structures d’appui notamment l’Institut National Polytechnique Houphouët Boigny (INP-HB) ont réfléchi sur la mise en place de cette plateforme à Yamoussoukro à l’instigation du conseil national coton-anacarde.
Le conseil a ouvert d’importants chantiers en vue de faciliter l’installation d’unités industrielles de transformation. Ainsi d’ici la fin du mois de décembre l’aménagement des zones agro-industrielles dédiées à la transformation de l’anacarde va débuter à Bondoukou et Korhogo.
Selon son directeur général, docteur Adama Coulibaly tout ce bouillonnement dans le secteur s’inscrit dans le cadre du Projet de Promotion de la Compétitivité de la Chaine de valeur de l’Anacarde.
« Soyez rassurez de notre volonté et de notre engagement à soutenir toutes les initiatives allant dans le sens de l’amélioration des moyens et procédés de production dans la transformation de tous les produits et sous-produits de l’anacarde », a –t-il déclaré à l'endroit des équipementiers.
La Côte d’Ivoire qui tient le premier rang mondial dans la production de noix de cajou veut relever le pari du développement local de la production et la maintenance d’équipements adaptés au contexte local.
« L’institution du Salon International des Equipements et des Technologies de l’Anacarde (SIETTA) sous l’impulsion du Conseil du Coton et de l’Anacarde, dont l’édition de 2020 n’a pas pu malheureusement se tenir du fait de la pandémie de la Covid 19, est la preuve de notre volonté de promouvoir la transformation locale par une politique de transfert progressif de technologie ».
gso/ask